Beyens de Grambais

Beyens de Grambais
noble family
Country Netherlands
Belgium
Ethnicity Dutch
Grave stone of Sibilla Raessen, with the coat of arm of the noble Beyens family.

Family Beyens de Grambais is a Dutch-Belgian family of nobility, with a branch settling in the Southern Netherlands in the early 17th century.

A Brabant family

The Beyens family originates in the North Brabant in the Netherlands.

The Family Beyens had then as weapons: Of silver to the Lion of azure, lampassé, lit and armed with gold, with the tail forked and passed in saltire. This ecu is reproduced on the funeral coat of arms of Jean van of Velde, Counsellor of 's-Hertogenbosch and deceased in 1644.

Branch François Beyens, seigneur de Grambais

François Beyens

VII. François Beyens, lord of Grambais, general collector for the Rhine and the Lower Lip and Commissioner for the renewal of horses for His Majesty.,[1] ennobled by Philip IV in 1647.,[2] son of Pierre Beyens and Elisabeth de Magistris (see VI), born in Amsterdam 13 December 1610, died in 1670.,[3] married Anna Cornelia de Maillot,[4] daughter of Jacques Maillot of Bouret, lord of Houvigneul[5] and Artois and of Suzanne del Plano. They had five children:

1) Jacques François Joseph de Beyens, born 13 May 1644, probably deceased in infancy.
2) Marie Suzanne de Beyens, born 21 October 1645.
3) Grégoire Ignace de Beyens, born 19 January 1648. Follows under VIII.
4) Thomas Hyacinthe de Beyens, born 3 January 1649.
5) Michel Pierre de Beyens, born 6 March 1654, bought 24 December 1685 and 7 March 1686, from Marie-Ernestine de Berlo, baronne de Meldert, an important farm in Attenrode[6]

Grégoire Beyens

Children:

1) (first marriage) Michel Joseph de Beyens, follows under IX.
2) (second marriage) Maximilien-Ignace de Beyens.

Michel Joseph Beyens

IX. Michel Joseph de Beyens,[13] lord of Grambais, Houvigneul etc. married first with Françoise de Godin, daughter of Jacques François de Godin and Marie Waelhem, lady of Terborcht; married secondly with Marie Louise Philippine baronne von Bonninghausen, daughter of Jasper Lothier von Bonninghausen.

Before his marriage Joseph Michel Beyens was a monk under the name of Brother Joseph Beyens[14] in the Abbey of Orival but did cancel his vows by the ecclesiastical court. He had joined in 1693 as a monk the Abbey of Orival. His vows were declared invalid in 1715 by sentence of the ecclesiastical court. Wanting to regain possession of his property, including the lordship of Grambais, he filed a lawsuit in the same year against the Marquis Ambroise Joseph de Herzelle to recover the lordship of Grambais. (Michael) Joseph Beyens, declared that his stepmother Maximilienne Philippine Godelive of Ghistelles forced him to be religious, in order to get a will before his profession and ceaded his property in favour of her children. An agreement was reached between the two parties on 7 March 1720. Indeed, Ambroise Joseph de Herzelles agreed to sell the manor of Grambais to Joseph Beyens against repayment of the amount paid by Guillaume-Philippe de Herzelles to acquire this land in 1693.[15]

Last generation

They had 4 children:

1) Jean de Beyens
2) Marie Benoîte (ou Bénédictine) de Beyens, unmarried:[16] Madame de Beyens dite de Grambais, resided in the beginning of the 19th century in Braine-le-Comte.[17]
3) Jeanne Marie de Beyens
4) Sophie Frédérique de Beyens de Grambais, died 15 March 1785 in Houdeng-Gœgnies (Hainaut), married with Antoine François de Biseau,[18] esquire (1735-1785), son of Nicolas François Joseph de Biseau, esquire (1704-1774), lord of Houdeng lès Gognies, Crohen, Bougnies and Saint-Hilaire, and of Marie Ursule d'Antoing de Rochefort (1712-1762).

Branch Frédéric van Beyens

VII bis: Frédéric van Beyens, knight, son of Pierre and Élisabeth de Magistris (see onder VI), born 6 Mai 1618 in Bois-le-Duc, died before 1691, was "conseiller-maître" at the "Chambre des Comptes" of Brabant,[19] married with Catharina van Worcom, Lady of Goedenrath and Vogelsang, daughter of Godefroy van Worcom, esquire, and of Marie de Cocq van Haeften. They had :

1) Marie Elisabeth de Beyens,[20] lady of Goedenrath and Vogelsang, born 26 June 1651, died 3 September 1730, married with Jean Adrien baron de Witte van Limminghe, scabin[21] of Aachen (1676 to 1720, son of Jacob de Witte van Limminghe and of Apollonie Alexandrine van Backhausen.
2) Lodewijk van Beyens. Under VIII.
3) Aldegonda van Beyens, unmarried, died in 1724.
4) Ignace van Beyens, captain in the "Guardia Wallona" in Spain died in 1728 married with Therèse van Mieses, daughter of Don Juan.
5) Angelina van Beyens, died in 1738 married with Jan Adolph comte von Stupenberg.

VIII. Louis van Beyens, died 24 April 1712, married with Jeanne Catherine de Witte van Limminghe. Only one child:

IX. Marie Catharine van Beyens, died in 1712, married with Godefroy, baron van Balen, called d’Homborg, without any descent.

Extinct

In the course of the 18th century the last male of the family died.

In the early years of the 19th century, the family became totally extinct at the death of Marie Benoîte de Beyens de Grandbais.

Other Beyens families (homonymous)

Sources

References

  1. Archives du Nord: "B. 3177. Income (January till December 1661) in favour of François Beyens collector of duties on import and export in Dunkerque.", in: Inventaire sommaire des Archives départementales antérieures à 1790, Nord, p. 268.
  2. M. de Vegiano, Nobiliaire des Pays-Bas et du Comté de Bourgogne, Vol. I, Louvain, 1760, p. 193 : François Beyens, surintendant et receveur des droits de licences sur le Rhin et la Lippe, fut anobli par le Roi Philippe IV par lettres du 7 septembre 1647.
  3. Baron Jacques Le Roy, Topographia historica Gallo-Brabantiae (...), Amsterdam, 1692, p. 57 : Caput XIV, De Dominio Grambais, and p. 58 : Simon Paul d’Arlin, Chevalier, Seigneur de Bornival, fils de François susdit, espousa Alexandrine de Rodoan, laquelle estant vefve fit vendre la terre de Grambais, qui fut achepté par décret de l’an 1650 par Francois Beyens Escuyer, qui de Cornelia de Maillot procréa Grégoire Ignace Seigneur de Grambais, Hovencheul etc. allié l’an 1676 à Marie Iacqueline, fille de Michel de Rolly Seigneur de Corroy le Grand, et de Jacqueline Happart.
  4. Louis Eugène de La Gorgue-Rosny, Recherches généalogiques sur les comtés de Ponthieu, de Boulogne, de Guines et pays circonvoisins, volume 2.
  5. Félix-Victor Goethals, Archéologie des familles de Belgique, première livraison, Bruxelles, 1864, pp. 98-101, op. cit.4 p. 99-100: Grégoire-Ignace Beyens, écuyer, seigneur de Grambais et de Houvigneul, fit acte de relief pour la terre de Grambais à la cour féodale d’Arquennes, le 15 avril 1670, par la mort de son père.
  6. F. V. Goethals, op. cit. p. 99.
  7. F. V. Goethals, op. cit., pp. 99-100: Grégoire-Ignace Beyens, écuyer, seigneur de Grambais et de Houvigneul, fit acte de relief pour la terre de Grambais à la cour féodale d’Arquennes, le 15 avril 1670, par la mort de son père, puis, au nom de sa femme, pour la terre et seigneurie de Corroy-le-Grand, le 18 juin 1676.
  8. Baron Jacques Le Roy, Topographia historica Gallo-Brabantiae (...), Amsterdam, 1692, p. 58 : François Beyens Escuyer, qui de Cornelia de Maillot procréa Grégoire Ignace Seigneur de Grambais, Hovencheul etc.
  9. Louis Galesloot, Inventaire des archives de la cour féodale de Brabant, T. I, Brussels, 1870, Chap. IV, Statuts, coutumes et ordonnances observées à la cour féodale, p. XXX : Dans la succession des fiefs provenant du père et de la mère, le fils aîné, ou la fille aînée, faute d’un enfant mâle, hérite des châteaux avec leurs ponts-levis et leurs fossés. Il exerce la juridiction féodale et jouit des deux tiers de tous les droits et profits attachés à cette juridiction (article 21).. Also: F. V. Goethals, op. cit., pp. 98 à 101: Pour quel motif Jacques-François-Joseph Beyens, né le 13 mai 1644, et par conséquent frère ainé de Grégoire-Ignace, n’a-t-il hérité ni de son père ni de sa mère? De nos jours on affirme qu'il a épousé, vers 1680, Isabelle van Achelen qui n'est connue ni dans la généalogie de la famille van Achelen, ni dans celle de la famille Beyens de Grambais, et qu'il s'est établi à Wonterghem, and p. 101: François Beyens, de Wonterghem, époux de Jossine van Ackere, semble avoir été confondu avec Jacques-François-Joseph Beyens, époux d'Isabelle van Achelen. Comme le dernier enfant de Jossine van Ackere, Pierre-François Beyens est né le 17 février 1731, Jacques-François-Joseph Beyens, né le 13 mai 1644, aurait eu cet enfant à l'âge de 87 ans!.
  10. Edouard Poncelet, Inventaire analytique des chartes de la Collégiale de Saint-Pierre à Liége, Bruxelles, 1906, p.378 : 1702, 4 janvier. Mise en vente de la seigneurie de Corroy-le-Grand et Vieusart, avec les bâtiments, terres et privilèges en dépendant, à la requête de Henry-François Boot, écuyer, seigneur de Velthem. Cette terre appartenait à feu Grégoire-Ignace Bayens (sic) et précédemment aux de Rolly. A. E. L. Recueil n° 4bis.
  11. Louis Galesloot, op. cit., p. 345; Registre de recettes des droits de relief : n° 379 : Registre portant l’indication des années 1693 à 1698, p. 137. — Acte du retrait de la seigneurie de Grambais intenté, le 28 août 1694, par Maximilienne-Philippine-Godelive de Ghistelles, dame de Corroy, etc, veuve en premières noces de Grégoire-Ignace Beyens, et cela en qualité de mère et tutrice des enfants qui lui étaient restés de son dit mari. Et encore op. cit. II, p. 406 : 2775. Maximilienne-Philippine-Godelive de Ghistelles, dame de Thy, veuve en premières noces de Grégoire-Ignace Beyens, seigneur de Grambais, en deuxièmes de Philippe-Albert Lepoivre, seigneur de Vrechem, en troisièmes d'Albert-Eugène-Henri, baron de Ruysschenberg, seigneur de Zelicum, en son nom et au nom de ses enfants, Maximilien-Albert de Beyens, Marie-Isabelle Lepoyvre de Vrechem et Louis-Albert de Ruysschenberg. - Jean Huys, banquier à Bruxelles. Retrait lignager des seigneuries de Thy, Hattain et Bois-Saint-Jean, acquises en vente par décret. Accordé le 11 août 1707.. Ainsi que : Suite du supplément au Nobiliaire des Pays-Bas et du comté de Bourgogne, par M. D.**** S. D. H.** , Malines, 1779, p. 128 : Philippe-Albert le Poyvre, Seigneur de Vrechem, Major du Régiment d'Arquebusiers à Cheval du Prince de Steenhuysen, blessé à la défaite de Bossuyt en 1692, et mort de ses blessures le 1 oct. 1693. Il avoit été marié à Maximilienne-Philippine-Godelive de Ghistelles, Dame de Thy, veuve de Grégoire-Ignace Beyens, Seigneur de Grambais; et fille de Maximilien - Philippe de Ghistelles, Seigneur de Thy, et de Barbe Catherine le Prince. Maximilienne-Philippine-Godelive de Ghistelles se remaria en troisiémes nôces par contrat du 15 Nov. 1695 à Albert-Eugène-Henri, Baron de Ruysschenbergh, Seigneur de Zelicum, et fut inhumée à Oppeule près Bruxelles le 21 Déc. 1721. Elle n'a eu de son second mari, qu'une fille unique, Isabelle-Josephe le Poyvre, Dame de Vrechem, née posthume au Château de Thy le 11 Déc. 1693, et morte à Lille le 22 Nov. 1761.
  12. Une branche de la Maison de Ghistelles a été étudiée par le comte Baudouin d'Ursel :Princes en Belgique. Ghistelles 1760, dans: Le Parchemin, n° 392, Brussels, 2011, pp. 90-98.
  13. Henry-Charles van Parys, Inventaire analytique du fonds Houwaert-de Grez, Brussels, 1971, p. 5 :4.2.1724. Michel-Joseph de Beyens, sgr de Grandbaix (sic), suite à la résignation par François Maskens de sa charge de bailli de cette terre, la confère à Alexander de Meulder, marchand et 'livrador' des fournitures pour les logements au service de S. A. en la ville de Bruxelles. 6471, 59.. Also: AGR, Procès – Conseil de Brabant, n° 1265 : Michel-Joseph De Beyens seigneur de Grandbais. Bail 01-01-1740 (1740). Avec rétroactes : 1648-1678, aperçu de toutes les entrées des bails et des rentes de la seigneurie de Grambais de 1648 à 1678.
  14. Louis Galesloot, op. cit., T. II, p. 126 : Fol. 36. Copie du testament de frère Joseph Beyens, étant sur le point de prononcer ses voeux à l'abbaye d'Orval (Lapsus calami for Orival), en date du 27 août 1693. La transcription de ce testament se rattache au retrait de la seigneurie de Grambais. Rappelé ci-dessus, au fol. 187 du vingt-quatrième volume. (note 2 : Par une clause de son testament, frère Beyens légua à Guillaume-Philippe, marquis de Herzelles, etc., chancelier du conseil de Brabant, la seigneurie de Grambais, relevant de celle d'Arquennes. Maximilienne-Philippine-Godelive de Ghistelles, veuve de Grégoire-Ignace Beyens, dame de Corroy-le-Grand, s'opposa devant ledit conseil de Brabant 'à cette aliénation, colorée du nom de légat.' C'est ainsi qu'elle s'exprime dans une requête à l'électeur de Bavière, transcrite au fol. 35 du présent volume. Voy. aussi les pièces aux fol. suivants, notamment une requête très-étendue du marquis de Herzelles à l'Électeur, au fol. 42, et le vingt-quatrième volume, au fol. 187, cité.). And also, p. 77 : Fol. 187. Lettre de l'électeur Maximilien-Emmanuel, du 29 novembre 1694, transmettant à la cour féodale une requête de la veuve de Grégoire Beyens, dame de Corroy-le-Grand, touchant le retrait lignager intenté par elle de la seigneurie de Grambais.
  15. Denis Tombois, "Le marquis Ambroise-Joseph de Herzelles (1680-1759), surintendant et directeur général des finances", dans : Études sur le XVIIIe siècle. La haute administration dans les Pays-Bas autrichiens (Ambroise-Joseph de Herzelles, Denis-Benoît de Cazier, Jacques-Antoine Le Clerc, Brussels, 1999, p. 29 : La seigneurie de Grambais est entrée tardivement dans le patrimoine des Herzelles puisque cette seigneurie fut léguée à Guillaume-Philippe de Herzelles par le testament rédigé par Joseph Beyens, seigneur de Corroy et de Grambais, qui entrait en religion au cloître d'Orival en 1693. Le premier marquis de Herzelles dut cependant débourser 14.173 florins argent de change pour prendre possession de Grambais puisqu'il devait rembourser au cloître d'Orival les rentes hypothéquées sur la seigneurie. En 1715, un procès éclata entre Ambroise-Joseph de Herzelles et Joseph Beyens au sujet de la possession de la seigneurie de Grambais. En effet, Joseph Beyens déclarait que sa belle-mère l'avait forcé 'à se faire religieux profès pour obtenir avant sa profession un testament de ses biens tant en sa faveur qu'en faveur de ses enfants et de ses amis ou alliez'. Ses voeux venant d'être déclarés nuls par sentence de la cour ecclésiastique, il demanda de pouvoir rentrer en possession de ses biens dont fait partie la seigneurie de Grambais qui est aux mains du marquis de Herzelles.
  16. AGR, Notariat Nivelles, Notaire Charles-Joseph Paradis (21867), 23-03-1805: Marie Bénédictine de Beyens. Célibataire. Propriétaire du château de Grandbais. Et de la cense. Bail à ferme de la cense de la rose acte n° 128
  17. J. Croquet, "Notice historique sur l'église paroissiale et sur les institutions religieuses de Braine-le-Comte", dans: Annales du Cercle archéologique d'Enghien, volume III, 1887, p. 492: Sans que l'exercice du culte catholique fut légalement autorisé, les messes se célébraient alors régulièrement chaque dimanche, dans une dépendance de la maison de Mme de Beyens dite de Grambais. Il en fut de même, croyons-nous, jusqu'au jour où l'église paroissiale fut, par suite du concordat de 1801, rendue à sa destination au mois d'avril 1802., et encore: C. Dujardin, Dates mémorables de l'histoire de Braine-le-Comte, dans : Annales du Cercle archéologique d'Enghien, volume V, 1898, p. 40: L'accomplissement du service divin eut lieu pour la dernière fois en l'église paroissiale le premier dimanche du mois d'octobre 1797. […] Nous savons néanmoins par la tradition que la messe continua à se célébrer assez régulièrement chaque dimanche. Elle se disait en divers endroits, notamment en la maison de Madame de Beyens dite de Grambais (rue Basse). […] Cette belle demeure fut occupée en 1756 par le châtelain François-Joseph Le Mayeur et plus tard par Madame Beyens de Grambais. Pendant les années 1801 et 1802 le curé Mathieu résidait chez la pieuse dame de Grambais.. And : Blanche Delanne, Histoire de la ville de Nivelles. Des origines au XIIIe siècle, dans: Annales de la Société archéologique et folklorique de Nivelles et du Brabant wallon, tome XIV, Nivelles, 1944, p. IX: (A.G.R., Archives Nivelles): 3699 - Déclaration de la cour de Grambais à la demande de Maximilienne B.-J. Beyens, dame de Grambais, au sujet de la largeur du chemin dit 'du Grand Bailli', 15 juillet 1791.
  18. AGR. Notariat, Nivelles, Notaires Paradis et Adrien Louis Detraux (21840), Nivelles, contrat de mariage, 22 novembre 1770 : Antoine François Joseph Famille de Biseau, futur époux et Sophie Frédérique Joseph de Beyens, futur épouse (acte 101)
  19. Claude Bruneel et Jean-Paul Hoyois, Les grands commis du gouvernement des Pays-Bas autrichiens, Bruxelles, 2001, p. 564 : Le 10 juin 1687, Joseph-Ignace Simon (1650-1721), écuyer, obtint la faveur royale de succéder à Frédéric Beyens, conseiller-maître à la Chambre de Brabant, en cas de vacance du poste de celui-ci.
  20. Jaarboek van Limburgs Geschied- en Oudheidkundliche Genootschap, 1937, volume 73 : En 1691 après la mort du conseiller Beyens, ses enfants lui succèdent, mais sa fille Marie Elisabeth Beyens leur survit et reste seule héritière, elle mourut en 1730 ayant épousé Jean Adrien baron de Witte Uit ten Limminghe.. And also : Luise Freiin von Coels von der Brügghen, Die Schöffen des Königlichen Stuhls von Aachen von der frühesten Zeit bis zur endgültigen Aufhebung der reichsstädtischen Verfassung 1798. Urkundliche Beiträge zur Geschichte ihres Lebens und Wirkens, in : Zeitschrift des Aachener Geschichtsvereins, 1928, volume 50 : Jacob Ignatius Joseph de Witte de Limminghe 1720—1765. Erstes und letztes Vorkommen als Schöffe: 1720 (....). Jakob Ignaz de Witte war der Sohn des Schöffen Adrian Johann und der Maria Elisabeth de Beyens.
  21. Luise Freiin von Coels von der Brügghen, Die Schöffen des Königlichen Stuhls von Aachen von der frühesten Zeit bis zur endgültigen Aufhebung der reichsstädtischen Verfassung 1798. Urkundliche Beiträge zur Geschichte ihres Lebens und Wirkens, dans: Zeitschrift des Aachener Geschichtsvereins, 50, 1928, col. 427 : Adrian Johann de Witte fut de 1676 à 1720 échevin d’Aix la Chapelle.
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