Château de Bois-Briand

Château de Bois-Briand
Château du Bois Briant (Bright Wood Castle)
Former names chateau du Bois Briand
Alternative names ChateauBoisBriand
General information
Architectural style medieval, (classical) 17th century
Location Nantes, France
Address 10 rue du Bois Briand
Town or city Nantes
Country France
Current tenants Delalonde family
Construction started 1405
Completed 1699
Opening 1405
Inaugurated 1405
Renovated 1699, 1771
Owner Eric & Mijo Delalonde
Height
Architectural medieval, XVII
Other information
Parking yes

Château de Bois-Briand is a château located in Nantes, France. In 2008, the estate was listed as a "Monument National" by French Minister of Culture. This label was attributed thanks to three main considerations: the inspiring history of some landlords, the permanence of a consensual social life and the translation of this harmony into various gardens, buildings and botanical creations.

The original castle was named Bois-Briant, Bois-Brient and Bois-Brillant. These names referred to a wood enlightened by sun because it was (still is) facing South. The medieval castle became a "château" when it was sold by Charette family to Le Meneust des Treilles family, in 1699. The medieval defensive "castle" transformed itself into a "maison de plaisance" where pleasure was associated to economic productions (wine and dry fruits for sailors). Such "châteaux", designed for pleasure were named "Folies" in "Pays de Nantes". In other parts of France, the term "Folies" was used mainly to designate monumental ornements in 18th century parks: false ruins (pyramids, obelisks), grottos, love-temples, friendship-temples and "laiteries". The street that led to the castle was named Avenue de Bois-Briant. Since its acquisition by the city of Nantes, Avenue du Bois-Briant became « rue du Bois-Briand ».

from Roman Empire to Middle Ages

Le château de Bois-Briand se trouve au nord de la plus ancienne voie romaine de la région (déjà mentionné au IIIe siècle et épousant approximativement le tracé de la départementale 68 (ou « route de Sainte-Luce »). Celle-ci, située à l'extrémité septentrionale des zones inondables de la Loire, venait d'un lieu où existait une villa romaine baptisée Cariacum, l'origine du château de Chassay (l'actuelle mairie de Sainte-Luce, située au sud du bourg) et allait à Nantes en passant par Doulon, endroit déjà habité lui-aussi à l'époque gallo-romaine.

Depuis les invasions barbares au VIe siècle, la paroisse de Doulon don't fait partie le Bois-Briand, devient un domaine épiscopal, qui sera un temps spolié par Harscoët Ier de Saint-Pierre, seigneur de Retz, qui en récupère une bonne part durant le XIe siècle. Il faudra la menace d'une excommunication, suite aux décisions du concile de Rome en 1049, pour que Harscouët rétrocède Doulon aux évêques en 1104 (elle sera l'une des rares paroisses à être rendues à l'évêché nantais) et restera leur propriété jusqu'à la Révolution.

Mais ses derniers, incapable de gérer leur biens, cèdent, sous la pression du Duc de Bretagne qui est devenu leur suzerain en 1345, leurs domaines à des familles aisés. Des seigneuries se créées, alors. Celle du Bois-Briand en fait partie, puisqu'elle a été créée en 1405 par un certain Geoffroy Resmond.

15th Century

NB:/On trouve la trace d'un Guillaume Dandin comme "Sénéchal de Guérande" et d'un Guillaume Dandin, "tabellion" d'une Vicomté, lors du mariage de Marie Lecomte et Jean II du Merle (en Normandie).

À l'occasion des inondations du XVe siècle, les habitants semblent s'être installés au premier étage en construisant une protection de terre autour de la maison.

Une coursière relie les chambres entre elles. Cette coursière, en bois, est démolie. Les portes sont bouchées. L'une d'entre elles sera rouverte partiellement en 2006 dans « La chambre de Paul ». L'accès à la tour se fait par une porte ouvrant sur la cour d'honneur. Cette porte fut murée. Elle a été ouverte en 2008.

entrée de logement du personnel de la ferme
le mail de tilleuls vu à travers la grille (XVème) de la fenêtre de la cuisine du château de Bois-Briand

16th Century

En 1589, sur les deux avocats du roi, au Présidial de Nantes, l'un (R.Mésanger) est loyaliste, l'autre (Antoine de Brénezay) est "ligueur". Premier avocat du roi au Présidial depuis au moins 1575, Antoine de Brenezay saisit l’occasion d’ascension dans la hiérarchie des offices que la Ligue propose aux magistrats compétents et fidèles. Présent aux États généraux de Blois, théâtre de l’assassinat du duc de Guise en 1588, il est pourvu, grâce à Mercœur, avocat du roi au Parlement ligueur le 5 janvier 1590. Le 2 avril 1590, Antoine de Brénezay devient sénéchal de Nantes, laissant sa place de premier avocat du roi à Pierre Biré. Mais c’est surtout au sein de sa cour d’origine, qu’il se distingue, puisque, comme on vient de le voir, le 2 avril 1590, il devient sénéchal de la ville, les ligueurs estimant l’office « vacant par la forfaiture de maître Julien Charette» qui a gagné le camp loyaliste à Rennes. Le prestige et l’importance de cette fonction dans la cité l’amènent à représenter Nantes aux États ligueurs de Vannes en 1592. Celui que l’on peut supposer être son fils, Matthieu de Brénezay, entre, en outre, à la Chambre en 1597 (Arch. dép. de Loire-Atlantique, B 605, f° 161.). Les officiers écartés en 1598 parce qu’ils occupaient des postes de commandement déjà dévolus à des loyalistes exilés sont: Antoine de Brénezay, Pierre Bidé, Pierre Biré et Guillaume Le Vavasseur. Aucun de ces dirigeants du Présidial ligueur n’est réintégré, et leur carrière s’achève en 1598. On n’a en tout cas plus trace de leurs activités après cette date, à l’exception de celles de Pierre Biré que l’on retrouve « professeur royal des droits en l’université de Nantes » en 1607. Brénezay, déjà âgé, meurt assez vite en 1606, mais Pierre Bidé, don't le décès intervient en 1611, et Guillaume Le Vavasseur, toujours vivant en 1620, n’exercent plus de charge publique après la Ligue. La paix de 1598 met donc fin à leur carrière".

En 1597, Jean II Charette seigneur de la Colinière, fils de Jean I Charette seigneur de la Colinière et de la Gascherie, épouse, en premières noces, Jeanne du Dreseuc. Leur fils, Jean III Charette, héritera, en 1620, du titre de seigneur de la Colinière.

Jean II et sa seconde épouse, Françoise Brenezay, semblent avoir conservé leur résidence principale de la Ramée, en Prinquiau, comme le prouvent les actes de baptème enregistrés dans cette paroisse.

Le successeur de Jean II Charette, seigneur du Boisbriant, est Louis Charette du Boisbriant, fondateur de la branche Contrie.

17th Century

René Charette

Jean VII Charette de la Colinière, le demi-frère de Louis Charette, hérite de biens importants. Louis Charette épouse Jeanne Ernaud don't il a une fille: Jeanne Charette Jeanne Charette épousera Claude d'Aubigny, "sieur" de la Rocheferrière. Ils auront un fils: Louis d'Aubigny. Louis d'Aubigny cède, le 4 novembre 1684 (source: ADLA 4E 2/636 et 4E 2/1732 et 21 J 20), à son petit-cousin Julien Charette de la Colinière la terre de la Chesnaie, à Doulon. Celle-ci faisait, sans-doute, partie de la seigneurie de Bois-Briant qui sera vendue, dix ans plus-tard, par René Charette de la Contrie, à Pierre Le Meneust des Treilles. NB:/ Julien Charette de la Colinière avec l'appui de son beau-père, Jean Salomon de Breafort, conseiller du roi, maître de la Chambre des comptes de Bretagne, devient, lui aussi, maître des comptes en 1695.

Toussainte Simon avait épousé, en premières noces, Guillaume Baudouin. Tous deux eurent un fils: Georges-René Baudouin, écuyer, seigneur de La Ville en Bouaye, demi-frère de Jean-Baptiste Charette de Boisbriant.

Ils ont un fils, en 1685: René Charette seigneur de la Contrie

Le 1er septembre 1713, René Charette seigneur de la Contrie épouse Marthe Fleuriot (1694-1748), Dame de l'Omblepied.

Pierre Le Meneust des Treilles devient seigneur de Boisbriant

le château de Bois-Briand et ses jardins
La vente est réalisée, à l'occasion du décès du grand-père du propriétaire, Louis Charette, Seigneur de Bois-Briant et à la demande du tuteur du jeune écuyer René Charette de la Contrie.
Louis Charette de Bois-Briand (le grand-père) était, sans doute, lui-même, président à la Chambre des Comptes de Bretagne.

Entre la date d'entrée dans les lieux et le décès (1723) de Pierre Le Meneust des Treilles, il s'écoulera 30 années. On peut penser que celles-ci n'auront pas été suffisantes (cf. le défaut de terrasses entre la maison et le bassin) pour achever l'ambitieux projet architectural du nouveau propriétaire. Ce projet, pour mémoire, consiste à relever de ses ruines un manoir féodal, le transformer en maison de plaisance selon les canons esthétiques du XVIIème siècle finissant, mettre en place une infrastructure agricole capable de gérer une production agricole abondante et variée (vigne, fruits). Le plus colossal projet résidait dans le détournement du cours de l'Aubinière et la création d'un miroir d'eau de plus de cent mètres de long sur 19 mètres de large. La vente est réalisée par la Jurisdiction des Perrines, Cour de Justice des Evèques de Nantes.

L'acquéreur, Pierre Le Meneust, président des Treilles (époux de Marguerite Jouault, fille du receveur de l'Amirauté de Nantes), réside rue des Cordeliers, dans la Paroisse de Saint-Léonard, à Nantes.
L'entrée dans les lieux du nouveau propriétaire intervient le 16 juin 1694. Elle est consignée dans le document Alexandre 4 E 2 12 aux Archives Départementales, dans les Archives Notariales de la Ville de Nantes. Alexandre est le nom du notaire dont l'étude a conservé ce document.
Lors de la visite rituelle d'entrée dans les lieux, le nouveau propriétaire visite la maison de justice correspondant à la juridication de Bois-Briand (le cachot subsiste, dans la partie médiévale de Bois-Briand).
Le nouveau propriétaire visite les deux borderies du Perray (Perré) et des Vesprées (Vieux-Prés). Il visite le village des Chaupières dont les habitants lui paient une rente. Il visite le moulin.

Architecture du XVIIe siècle

décor onirique du château de Bois-Briand
miroir d'eau du château de Bois-Briand

Au XVIIe siècle et au XVIIIe siècle, le manoir médiéval a été transformé en maison de plaisance et de rapport. Une façade classique et faussement symétrique fait oublier, côté Est, la base médiévale.

Dans le même temps, un jardin de carrée de 100 m2 (1,100 sq ft) est construit. Une enceinte de hauts murs est bâtie sur laquelle sont plantés des poiriers en espalier.

Un bassin circulaire est installé au centre du jardin à la française tandis que l'un des côtés est aménagé en miroir d'eau de 19 metres (62 ft) de largeur.

Un four est installé dans le bâtiment des communs pour y sécher les fruits. Les vignes sont exploitées entre le château et la Loire. Une partie de ces vignes subsiste, en bordure de l'Aubinière, près de la nouvelle maison de retraite de Sainte-Luce sur Loire.

À la cour médiévale succède une cour en pierres dressées chant contre chant. Cette cour présente en son milieu une allée de pavés de granite carrés. Cette allée mène au portail situé à un kilomètre, à la hauteur du périphérique actuel.

18th Century - Bois-Briand becomes a shelter for noble exiled Irish families

tableau d'Armel de Wismes offert en cadeau d'anniversaire. Il représente le départ d'un navire
Bois-Briand
Bois-Briand, les communs
La vieille noblesse jacobite irlandaise s'installe, en France, à Boisbriant
Les Jacobites étaient les partisans catholiques de Jacques II Stuart, roi légitime évincé par Guillaume d'Orange en 1688 lors de la "Glorious Revolution". Battus en 1690 à la bataille de La Boyne, plus de 25 000 d'entre eux durent s'exiler en France avec toute leur famille pour échapper aux persécutions. Ce fait historique est le pendant de l'exil des Protestants en Hollande, Allemagne et Angleterre après la révocation de l'Edit de Nantes.
Marie Stappleton (ainsi que son frère Jean) est reconnue, maintenue et confirmée dans son ancienne noblesse par deux arrêtés du Conseil du Roi, l'un du 18 octobre 1728 et l'autre du 24 juillet 1744.

NB:/En 1713, Mac Nemara, irlandais jacobite, épouse Julienne Stappleton, propriétaire de plantations en Saint-Domingue. Julienne Stappleton décède en 1748. Mac Nemara achète, en 1719, une maison située au 155 rue de la République (à l'époque, "rue des Fonderies"). En 1756 il achète La Rochecourbon, quelques mois avant de mourir. Par coïncidence, ces lieux sont familiers aux occupants actuels de Bois-Briand.

Source: Dictionnaire de la noblesse. de la Chenaye, Desbois et Badier chez Schlesinger fères, libraires éditeurs . MDCCCLXVII
"'La noblesse de robe épouse les armateurs négriers"'
1780 - Catherine Louise Portier de Lantimo épouse (en secondes noces) François Le Meneust, chevalier de Bois-Briand.
concert au château de Bois-Briand
Catherine Louise Portier de Lantimo devient veuve de François Le Meneust.
Catherine Louise Portier de Lantimo est née en 1748 fille d’un armateur de Nantes (issue du mariage, 6 décembre 1717, N. H. Pierre Portier Sr de Lantimo, fils feu N. H. Pierre Portier, Sr de Lantimo, et de Delle Michelle Jamet, et Delle Anne Rozée, fille N. H. Michel Rozée, ancien échevin et juge consul et Delle Anne Trochon.), veuve de François Le Meneust, chevalier de Bois-Briant, veuve en 1780 de Messire Charles François de Charnières capitaine des vaisseaux du roi, chevalier St Louis, & Dame de Preuil la Vieille Lande Cersay pour la faire représenter à l’assemblée de la noblesse de la sénéchaussée de Saumur du 9 au 11 mars 1789. (Armorial Général de France, Louis Pierre D’Hozier, 1868).. Elle touche 1000 livres de rente sur le trésor royal en considération des services de feu son mari, ci-devant capitaine de vaisseau. (Etat des pensions sur le Trésor Royal, tome III, imprimerie royale 1790).
La famille Portier de Lantimo « est originaire de Dinan dans les Côtes-du-Nord. L'ancêtre Pierre Portier vivant vers 1598 ... Parmi les enfants de ces derniers se trouve le nom de notables armateurs négriers…/… Les Portier ont armé seize négriers. » (Pierre-Ignace-Liévin van Alstein: capitaine négrier, Gand 1733-Nantes 1793, Mémoires de l'I.F.A.N, Dieudonné Rinchon, Dieudonné Rinchon (père) IFAN, 1964).
Pierre Michel Portier sieur de Lantimo, secrétaire du Roi en 1756 (maire) : D’azur à trois étoiles d’argent (Nobiliaire et Armorial de Bretagne, Pol Poitier de Courcy, 1862).
« C'est le cas d'un « règlement de marché de nègres » conclu entre, d'une part, Magdeleine Bouchaud, épouse de Michel Chabanon demeurant à Saint-Domingue, et, d'autre part, Pierre et Michel Portier de Lantimo, de Nantes. Les Portier s’engagent à armer en 1753 un navire capable de traiter de 200 à 250 noirs à la côte de Guinée. » (Moi, Joseph Mosneron, armateur négrier nantais, 1748-1833, Olivier Pétré-Grenouilleau, Apogée, 1995).
Les Porthier de Lantimo, négociants et armateurs enrichis dans la traite, étaient propriétaires d’une habitation voisine de Fleuriau (autre famille d’armateurs ndlr), au nord de Port-au-Prince. (Au temps des isles à sucre, histoire d’une plantation de St Domingue au XVIIIème siècle, Jacques Cauna, Khartala 1987).
Portier-Lantimo, négociant, secrétaire du Roi 1er octobre 1766 (Etat actuel de la Mairie de Nantes, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France, Louis-Alexandre Espilly, 1768).
Augustin Portier Lantimo, négociant lui aussi, est le fils d'un grand colon : Pierre Michel Portier de Lantineau ... La famille apparentée aux De Charnières, aux Delaville et aux Chaigneau possédait la sucrerie Lantimo-Lamarre…/… (Revue de la Société Haîtienne d’Histoire et de Géographie, n° 132 à 137, 1981).
Son épouse est, vraisemblablement Mare Anne Françoise Fagart, née vers 1779 et dont on retrouve la trace dans l'inventaire des colons "spoliés" de Saint-Domingue. (source: inventaire des secours aux colons de Saint-Domingue aux Archives Nationales. Série F12). C'est un ancien militaire du Régiment de Normandie. Le Comité révolutionnaire local constate son absence depuis plus de 15 ans. Il décide l'évaluation et la vente de ses biens.
Les portes de l'écurie et fenêtres de la chapelle sont bouchées. Les croisées de l'orangerie sont percées sur la façade sud du bâtiment édifié en 1771.
Le 29 fructidor an 7 (1799), le ministre de la police générale de la République au commissaire du Directoire exécutif du département de la Loire-Inférieure: "L'inscription de Pierre Jean Marie Meneust (ancien lieutenant de vaisseau) sur une liste d'émigrés propriétaires à Saint-Domingue et propriétaire à Paris correspond-t'elle bien à la réalité"? Source: AD 44 Q 443 Le 8 vendémiaire an 7 (1799). Répoinse: "La notoriété publique est qu'il n'a point eu de domicile en la commune depuis plus de 15 ans. Ainsi, son inscription sur la dite liste tombe de droit"

Architecture du XVIIIe siècle à Boisbriant

croisées de l'orangerie du château de Bois-Briand

La cour du XVIIe siècle est percée, au XVIIIe siècle par un caniveau de pavés de granite. Ce caniveau est destiné à approvisionner en eau du puits le bassin circulaire déplacé du jardin à la française (côté Est) vers la cour d'honneur élargie (côté Ouest).

Le pigment rose de l'enduit de la façade nord de l'orangerie est antérieur (XVIIIème siècle) au bouchage des portes percées pendant la période révolutionnaire. Il semble avoir été protégé des intempéries par la vigne vierge.

19th Century - Bois-Briand and USA


At the beginning of 19th Century, Bois-Briand becomes a shelter for a family of planters from West-Indies and Louisiana (Laure Gaigneron de Marolles was born in Elisabeth Town, New-Jersey, in 1801); Felix Cossin de Chourses, pirat (corsair) and slave trader buys Bois-Briand then transmit it to his daughter. His grand-son marries an American-born princess Murat. His grand-daughter gives birth to one of the inventors of automobile (Marquis de Dion).


1803 - Felix Cossin, a merchant, is elected on the Board of City of Nantes

As a pirat, Felix Cossin was famous for the capture, in 1792, (by his captains) of the Dutch brig « Dolphin » with « Les deux-Frères ». The boat was under the commandment of « Mylord Courtequeue » (= "Mylord short tail », a nickname he won because of his hair/catogan). The same « Mylord » captured, in 1793, the British brig Caractacus, the British 3-masts « La Charlotte », the US brig « Junon », the huge British vessel « La Henriette that was staffed with 623 sailors. « Mylord Courtequeue » was adopted as his son by Felix Cossin de Chourses.

1815 - Felix Cossin de Chourses buys Chateau de Bois-Briand

1816 - Felix Cossin deceases. Julie Cossin inherits Chateau de Bois-Briand

Some of his boats were very big: L’Oiseau, armed with big guns, was staffed with 100 « sailors », « La Confiance » was a 3 masts-vessel, « Les Deux-Frères was staffed with 120 « sailors » and equipped with 22 guns. Boats names were quite romantic: « L’Eugénie », « La nouvelle Eugénie », « La félicité », « Les Deux-Frères », « La Celestine », « La Musette » (18 guns!), « Le Chéri », « La Confiance », « L’Oiseau »…

In 1816, Julie Cossin inherits Chateau de Bois-Briand. She is 17-years old. Her niece Clementine Cossin will give birth to Marquis de Dion, in 1856.

1817 - Julie Cossin marries Alexandre, Charles, Gustave, Baron de Chassiron

1818 - Julie de Chassiron-Cossin gives birth to Charles Gustave Martin On the 5th of December 1818, Julie Cossin gives birth to Charles Gustave Martin, Baron de Chassiron.

On the 25th of August Julie de Chassiron-Cossin deceases. She is 21.

Charles Gustave de Chassiron is a diplomat in Tunis. He publishes « Aperçu pittoresque de la Régence de Tunis ».

1850 - Charles Gustave de Chassiron marries Princess Caroline Laetitia Murat

Princess Caroline Laetitia Murat was born on the 31th of December 1833 in Bordentown (New-Jersey) to Prince Lucien Charles Joseph Murat and Caroline Georgine Fraser. Fraser ancestors were Nantes region landlords (from Anjou, more precisely) Their original name was « de la Frézelière". They joined the Normans to conquer England during Middle-Ages. « Frézelière » became « Frisel » then « Fraser ». During their honeymoon in Nantes, Charles-Gustave introduces his bride to his family. Then, he shows her Clisson, an artists paradise where Sculptor Lemot is building his famous Villa and its « Gardener’s house ». Caroline falls in love with romantic landscapes of Tiffauges and its castle. By that time, everyone had forgotten (and not yet recalled) the horrible crimes that had been accomplished there by ????, the famous tale’s heroe « Bluebeard ».


1857 - Charles-Gustave de Chassiron is a diplomat in China, India and Japon

In 1861, he publishes « Notes sur le Japon, la Chine et l’Inde ». A museum was built in La Rochelle to display artistic treasures brought back by Charles Gustave de Chassiron from Extreme-Orient. Boisbriant et les Amériques



Laure Gaigneron de Marolles

Le 19e siècle est marqué, à Bois-Briand, par l'arrivée de propriétaires venus des Antilles françaises et des nouveaux États-Unis d'Amérique.
On trouve dans Les Annales du Pays Nantais N°141 (ou le Bulletin de la Société Archéologique) l'information selon laquelle les officiers de marine "Les Meneust des Treilles, seigneurs du bourg de Sainte-Luce, auraient vendu le Boisbriant aux négociants nantais Gaigneron de Marolles".

Anne Rose Budan est la mère de Laure Gaigneron de Marolles Née le 26 septembre 1782 - Petit Canal, 97131, Guadeloupe, Guadeloupe, France Baptisée le 7 novembre 1784 - Petit Canal, 97131, Guadeloupe, Guadeloupe, France Mariée en 1800, Cussac, 87054, Haute Vienne, Limousin, France,

avec

Joseph Michel Nicolas Gaigneron de Marolles né en 1773 don't les parents sont Charles Joseph GAIGNERON de MAROLLES, né le 27 janvier 1747 - Le Lamentin, 97232, Martinique, Martinique, France, décédé le 1er mars 1785 - Le Lamentin, 97232, Martinique, Martinique, France à l’âge de 38 ans Marié le 20 juillet 1772, Le Lamentin, 97232, Martinique, Martinique, France, avec Marie Louise Élisabeth des VERGERS de SANOIS, née en 1751

La tombe de Laure Gaigneron de Marolles (cimetière de Toutes-Aides) stipule que la propriétaire de Bois-Briand, en 1829, est née en « Amérique septentrionale ».
Nous avons la chance de détenir une abondante correspondance de cette jeune harpiste et aquarelliste.
Elle y fait part de l'agrément de la vie à Bois-Briand "Nous y menons bonne et douce vie".

La soeur de Laure est Marie-Marguerite, Elisabeth, Amélie de Gaigneron Jollimon de Marolles Née en 1800, l'année du mariage de ses parents, décédée en 1891 à La Robertière, elle se marie, en 1843 à La Chapelle d'Aligné, dans la Sarthe, avec Adrien Richard de Beauchamp (né en 1808)- (Parents : Augustin Richard de Beauchamp, chevalier & Rosalie Denis ) don't H Gaston Richard de Beauchamp 1840- marié en 1872 avec Julie de Laage H Raoul Richard de Beauchamp 1841-1912 H Maurice Richard de Beauchamp 1843- H Georges Richard de Beauchamp 1844- F Adrienne Richard de Beauchamp 1847-1915 H Toussaint Richard de Beauchamp 1847- H Raymond Richard de Beauchamp 1849-

La famille de Marolles (propriétaire de Bois-Briand, au début du XIXe siècle) avait servi Franklin et la cause de l’indépendance des États-Unis avec les Budan du Vivier, Leray de Chaumont, Gruel, Tessier, Peltier du Doyer, Monthieu, Penet, Dacosta de La Closille, Lincoln, Linsens, Julien Poydras de Lalande. Toutes ces familles se fréquentaient à Nantes et une grande solidarité les reliait.

NB:/ Poydras de Lalande, l'ancien colporteur de Rezé devenu milliardaire et sénateur de la Louisiane achète, à cette époque, le château de Gascherie (ancienne possession des Charette qui possédèrent Bois-Briand

La famille Gaigneron de Marolles s'établit à la Martinique, semble-t-il avant 1650, dans le quartier du Lamentin. Les alliances se font aussi bien avec la noblesse qu’avec la bourgeoisie commerçante, comme il arrivait souvent aux Antilles. L'auteur de ces lignes a pu détailler une carte de la plantation du Lamentin sur les murs du vestibule d'entrée du château de Thoiré (appartenant, à l'origine, à la famille de la Londe), château mis en vente en 2013. Par ces alliances dans le milieu du négoce, cette famille tourangelle acquiert des attaches avec notre pays.
Familles alliées : le Chevalier de Montespin (en Martinique), les Maupertuis, de Labbadie (oncle bordelais de Laure Jollimon Gaigneron de Marolles).
Une dame de Marolles a donné une grosse somme d’argent au Duc de Bouillé, gouverneur de la Martinique à l’intention des insurgés américains et pour financer une expédition pour leur venir en aide. Gilles Perrault a écrit un livre (La Revanche américaine) sur cette époque. En remerciement, le roi Louis XVI a offert une pendule et un service de table (nappe) représentant la bataille de Fontenoy. Ce service appartenait toujours, vers 2005, à la famille Alain de Marolles. Des Marolles sont rentrés de Martinique du temps de Louis XVIII et se sont établis place du Palais Bourbon à Paris. Une sœur d’Hortense de Beauharnais a épousé un Marolles. Napoléon III est venu à Nantes à l’occasion de la communion de sa filleule. Une généalogie très détaillée se trouve à Fercé dans la propriété des Marolles (Sarthe).
Source: de Cornulier: "nunc de Chassiron" 1857.
Originaire de Riom (Puy-de-Dôme), Chassaing avait été employé dans la Gabelle à Saint-Julien de Vouvantes où il se fixa, devint notaire, "receveur des Devoirs" puis administrateur du District de Chateaubriant.
Ayant acquis des biens nationaux (dont Boisbriant) et, par suite, menacé, il se réfugia à Nantes.
En retraite, il se retira au Boisbriant.

De son épouse, Perrine Martin, il a eu une fille, Perrine, baptisée le 3 avril 1783.

Gilbert Chassaing était un ami de Dominique Gicqueau fixé au Pressis-Chéreau (Carquefou). Chassaing était le notaire de Saint-Julien de Vouvantes, commune où naquit Dominique Gicqueau. Dominique Gicqueau est une très belle figure de l'époque de la Révolution: esprit sage, partisan des réformes politiques et sociales.
Plus tard, en 1905, les Cottin de Melville, décédés sans enfant, lègueront Boisbriant à leurs neveux Cebron de Lisle.

Architecture du XIXème siècle

Il est vraisemblable que Laure Gaigneron de Marolles ait fait percer la façade sud de la chapelle (transformée en écurie durant la Révolution). Créant (ou re-créant) une orangerie toujours en fonction, aujourd'hui.

De même, alors qu'elle regrette « l'absence de lieu où se tenir à l'ombre, en été », le mail de tilleuls américains, situé face au pignon sud de la maison, est, peut-être, un nouveau témoignage du désir d'améliorer, encore, l'« agrément » de la vie à Bois-Briand.

20th Century

1908 - Rattachement de la commune de Doulon à la commune de Nantes.

1941-1945 - Occupation par l'armée allemande Le château est occupé par des officiers allemands tandis que les propriétaires doivent se réfugier dans les communs et sous les combles.

Témoignage recueilli auprès d'une visiteuse à Pâques 2001. Cette charmante dame appartient à la famille des anciens propriétaires. Conduite par des amis, elle raconte ses souvenirs de la maison: "Lorsque j'étais petite fille, mon grand-père nous recevait tout l'été ici. C'était voici 60 ans. A la fin de l'été on amenait la carriole à cheval et on la remplissait de tous nos effets. Cela prenait toute la place. Un vrai déménagement. Nous regagnions Nantes. Mon père, qui habitait Saint-Donatien, venait à pied à Bois-Briand. En 1943, au moment des bombardements, toute la famille est venue se réfugier à Bois-Briand. Dès qu'il y avait une alerte nous nous cachions à la cave. Nous allions chercher de l'eau au puits en passant par la porte du mur. La serre était installée face au sud. Devant deux parterres de fleurs (cour d'honneur actuelle). Mon grand-père et l'oncle E.. adoraient les fleurs. Nous avons vécu dans les communs. Je me souviens bien de la cheminée, des toilettes à deux sièges. On tuait le cochon dans la pièce où se trouve la grande bassine. Les hommes se placaient dehors sur de grandes tables pour tout préparer. J'étais petite et j'adorais aller voir les vaches qui se trouvaient dans l'étable face aux logements des communs. Cette étable démarrait en face de l'endroit où l'on tuait le cochon. Je vois que les roses sont toujours là. Elles étaient magnifiques. A l'arrière, il y avait un immense verger. Nous avions le droit de ramasser tous les fruits tombés. Mais uniquement ceux qui étaient tombés. Il y avait surtout des pêches, des prunes et des poires. Les arbres étaient alignés le long de grandes allées. Ces arbres donnaient énormément. Lorsque l'oncle E... nous a dit qu'il ne pouvait plus financer la réfection des lucarnes de toît, nous avons souhaité nous cotiser dans la famille pour l'aider à garder ces belles fenêtres sur la façade. Mes parents dormaient parfois dans la grande chambre du centre et je dormais avec eux dans la petite chambre à côté. Du côté de ma mère, nous descendions de Charles Le Roux, le peintre ami de Corot. Nous avions énormément de tableaux qui étaient installés dans l'Orangerie de Bois-Briand. C'était une véritable galerie de peinture. Nous avions aussi beaucoup de tableaux dans les greniers de Bois-Briand. J'adorais cette orangerie quand j'étais petite. Vous ne pouvez pas savoir l'heureux effet de cette belle pièce sur une petite fille. Je revois encore l'oncle E.. biner le potager. Il disait toujours: "un bon binage vaut deux arrosages". La doublure des murs du rez-de-chaussée a été entreprise par l'oncle E.. pour mieux chauffer la maison. Dans le salon nous nous installions pour jouer au bridge. Les garçons jouaient au tric-trac sur une table placée devant la fenêtre ouest. Mon père était toujours à sa table face à la cheminée. Il y avait un grand salon rouge composé de 21 pièces, je crois. Il était en style Louis-XV et tapissé de rouge. L'oncle célibataire habitait dans la petite pièce en haut, au nord. Cette maison était pleine de vie. Au moment de se mettre à table, nous partions en procession derrière mon père depuis le salon. Nous avions un office à l'emplacement de votre lingerie. Quand nous montions dans les chambres nous agitions toujours la petite cloche de l'escalier. Dans le jardin nous adorions jouer dans les bosquets. Particulièrement dans la clairière située à gauche de la grille. On a toujours parlé du trésor de Bois-Briand. L'avez-vous trouvé"? Madame de C..., visite à Bois-Briand le lundi de Pâques 16 avril 2001.

"Liberation"

Les anciens occupants allemands sont condamnés à refaire la toiture du bâtiment des communs (en ardoise au lieu de la tuile originelle). Ils sont aussi chargés de creuser un puits en aval du miroir d'eau. Ce puits sera comblé en 2006 lors des travaux d'aménagement de la promenade publique.

L'exploitation viticole et fructicole fait place, après la Deuxième Guerre mondiale, à une exploitation maraîchère. En 1996, au moment du départ à la retraite du dernier maraîcher, la propriété est cédée à la famille Delalonde, propriétaires actuels.

En 1997, le conseil municipal de la ville de Nantes vote la réalisation d'un lotissement dans le jardin à la française et la récupération par la Ville du Miroir d'eau et ses abords pour en faire un jardin public.

Depuis 1997, l'orangerie sert de cadre à l'enregistrement de disques, d'émissions de radio et à l'exposition de travaux d'artistes.

Some technologies implemented recently

Ferme photovoltaïque sur les toits bâtiments de la cour d'honneur

Une ferme photovoltaïque a été aménagée en lieu et place du toît des bâtiments fermant la cour d'honneur, au sud. Sur plus de 250 metres (820 ft) carrés ont été disposés des panneaux. Ceux-ci captent la lumière, la transforment en énergie électrique et la diffusent au moyen d'onduleurs placés face à l'ancien portail de granite aspectant l'ancienne voie sud vers la Loire. Voie fermée lors de la mise en place de la Z.A.C. Bois-Briand.

Ce dispositif complète un système de production d'eau potable mis en place en 2000. L'eau captée dans la Loire est traitée par un dispositif composé d'un filtre à sable, du charbon actif et un système de filtrage des bactéries par rayons ultra-violets. La production d'eau brute est permise grâce à la conjonction de trois technologies : un puits, datant du XVIe siècle, la collecte des eaux pluviales, le puisage de l'eau de la Loire. Le puits est situé sur l'ancien tracé du chemin reliant le manoir à la route de Paris. Il marque l'extrémité du pignon nord de la maison. Légèrement sculpté, il est barré de grandes plaques de granite afin d'éviter toute chute. L'eau se trouve à sept mètres de profondeur. Il n'est pas utilisé. Lors de forages à trente mètres par un voisin nous ne pûmes percevoir la moindre influence de ceux-ci sur la réserve d'eau à laquelle conduit le puits de Bois-Briand. La collecte des eaux pluviales a fait l'objet de relevés savants par Monsieur Galard, inspecteur du Ministère de la Culture, en 2003. On distingue les eaux collectées sur les toits et les eaux de ruissellement. Jusqu'au rachat de la propriété, en 1996, le dispositif de gestion hydraulique en vigueur résultait d'une conception datant du XVe siècle. Un caniveau de granite fut expurgé lors des travaux de terrassement et mise à jour du pavement de la cour du XVIIe siècle. Ce caniveau évacuait eaux usées et de ruissellement vers l'Aubinière (puis le miroir d'eau faisant office de dépotoir à partir du XVIIIe siècle).

Place

Le château de Bois-Briand se trouve sur la rive droite de l’Aubinière, une rivière affluente de la Loire, qui marque la limite administrative entre Nantes et Sainte-Luce-sur-Loire (le château se trouve à 500 m à peine de l'église du bourg de Saint-Luce).
Avant 1908, il est à noter que le domaine dépendait de la commune de Doulon, jusqu'à l'annexion de cette dernière à Nantes. Indeed, the original ChateaBoisBriand was built (on one side) on the mouth of the Aubinière river, where Aubinière meets with Loire river. Before the huge 16th century Loire river floods, ChateauBoisBriand was (also) located on the banks of the Loire river. Sea tides influence is noticeable on Loire river, there. The Vikings invaded Western Loire Region using Loire river. Since these floods, Loire river bed has been postpone 2 miles further thanks to dams (called "levées", locally). The Aubinière is the administrative frontier between Nantes and Sainte-Luce-sur-Loire. The château is located less than 500 meters from the church and the shops of near-by village Sainte-Luce-sur-Loire. Before 1908, ChateauBoisBriand estate was located in the city of Doulon, until it was annexed by the City of Nantes.

References

    Sources

    1. "Aveu de Robert de Sesmaisons" du 24 août 1415
    2. "Mémoire de la Société Archéologique de Nantes V 44"
    3. "Archive départementale de la Loire-Atlantique: B 1905 - registre 1683. Pages 69, 70 à 74, E 2988, E 2982, E 3022".
    4. "Archive départementale de la Loire-Atlantique: D 44 Q 443"
    5. "Archive Départementale, Archives Notariales de la Ville de Nantes, notaire: Alexandre, référence: 4 E 2 12"
    6. "Des Salles - P.305"
    7. "Bulletin de la Société Archéologique du Finistère IX 200, Pr. de dom Mor, III 1326, 1553"
    8. "Arrêt sur la noblesse" - 1668
    9. "Factum des PP jésuites de Nantes est rédigé contre Louise Lefébure, veuve de Charette de Boisbriant, demanderesse en lettres de restitution et en cassation de la vente de la maison du Plessis, à Couffé"
    10. Service du Cadastre de la ville de Nantes
    11. "La Colinière, Association Doulon-Histoire"
    12. Gaëtan d’AVIAU DE TERNAY, « Noblesse et Chambre des comptes de Bretagne »,Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest [En ligne], 108-4 | 2001, mis en ligne le 20 décembre 2003, Consulté le 14 avril 2011. URL : http://abpo.revues.org/1674
    13. Louis-Nicolas-Henri CHERIN, Abrégé chronologique d’édits, déclarations, règlements, arrêts et lettres patentes des rois de France de la troisième race, concernant le fait de noblesse, 1788, LVI et 619 p.
    14. Fourmont, Histoire de la Cour des Comptes, page 318.
    15. Bulletin de la Société Archéologique du Finistère IX 200, Pr. de dom Mor, III 1326, 1553).
    16. Revue de la Société Haîtienne d’Histoire et de Géographie, n° 132 à 137, 1981
    17. Etudes sur le vieux Nantes, Georges Durville, Lafolye, 1901

    Bibliography

    Coordinates: 47°14′56″N 1°29′44″W / 47.24889°N 1.49556°W