Olivier Charbonneau

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Olivier Charbonneau (France, Aunis c. 1613[1][2] Île de Montréal 20 November 1687[3]), was a frontiersman who lived in Old Montreal in New France. Fichier Origine (file of origins) shows the history of settlers of New France; enter Charbonneau to see the history of Olivier or his daughter Anne.[4]

Charbonneau started his working life as a cleaner (of ditches of the swamp) in Marans, Charente-Maritime. Widowed twice, by Ozanne Lussaud, and Roy in Marans (m. 13 April 1646),[1] he then married Marie-Marguerite Garnier c. 1656.[1] It is recorded that at that time his wife Marie-Marguerite was niece to Marguerite Bourgeoys.[5]

He was one of the first settlers of the Île Jésus (today, Laval). He is the father of 35,000 living North Americans, and ancestor of the entire population of Labelle.

There are only two surviving records for the family name of Charbonneau: one for Olivier and his wife, landing in 1659, and another for an unrelated man, Jean and his wife, around 1675. Nothing in the record suggests that the two were closely related. It has been estimated that 97% of the Charbonneau families in North America are descended from Olivier Charbonneau and his wife. Descendants of Jean are fewer in number and in New France have tended to cluster in the Vaudreuil and Soulanges area of Quebec near the Ottawa river.[6]

Migration

En quête d'un avenir meilleur, avec son épouse et leur fille de deux ans (Anne) il s'embarque pour la Nouvelle-France sur le Saint-André au port de La Rochelle le 2 juillet 1659.[1] C'est dans cette même ville que, moins d'un mois auparavant (devant le notaire Demontreau, le 5 juin 1659),[1] il avait été engagé « laboureur à bras », c'est-à-dire pour travailler le sol à la bêche, par opposition au « laboureur à la charrue », pour Ville-Marie, par la Société Notre-Dame de Montréal, ayant été recruté par Jeanne Mance. Celle-ci par ce contrat prête pour deux ans à Olivier l'argent pour leur traversée jusqu'à Québec (175 livres et 31 livres 12 sols 6 deniers) pour frais d'hébergement préalable à La Rochelle et achat d'une malle de voyage : « en cette ville au logis de la Grâce de Dieu pour leur dépens et pour avoir [acquérir] un coffre à mettre leur hardes ».[7] Dix ans plus tard (le 10 octobre 1669, à Ville-Marie, devant le notaire Bénigne Basset), elle signera un acte de quittance générale, à l'égard de tous ces débiteurs de cette 2e grande recrue pour Ville-Marie. Ces dettes étaient énormes, équivalent pour chaque famille à plus d'une année du salaire annuel d'un ouvrier du temps. Ont-ils pu vraiment tout rembourser ? Sûrement pas, mais leur dette sera à jamais effacée, grâce à Jeanne Mance et à ses généreux donateurs.

Le couple et son enfant font ainsi partie des huit familles de l'Aunis, et apparentées, qui alors s'engagent par ce contrat à migrer en Nouvelle-France.[8]


In search of a better future, with his wife and their two year old daughter Anne, he sailed for New France on Saint-André at the port of La Rochelle July 2, 1659.[1] It is in this same city, less than a month earlier (before the notary Demontreau, June 5, 1659),[1] he was hired as "manual laborer", that is to say, to cultivate the land with a spade, as opposed to "the farmer with a plow" for Ville-Marie by the Society of Our Lady of Montreal; he was recruited by Jeanne Mance. This contract for two years granted Olivier money for their passage to Quebec (175 livres and 31 livres 12 sols 6 deniers) prior to accommodation costs at La Rochelle and buying a travel trunk "at home in this city of the Grace of God for their expenses and for [acquiring] a chest to put their clothes".[9] Ten years later (October 10, 1669 in Ville-Marie, before the notary Bénigne Basset), she signed an act of general release in respect of these debtors in this second great recruit to Ville-Marie. These debts were enormous, equivalent to each family of more than the annual salary of a worker at that time. Might they have been able to repay it? Probably not, but the debt was erased forever, thanks to Jeanne Mance and her generous donors.

The couple and their child are thus part of the eight families of Aunis, and their relatives, which then are bound by the contract to migrate to New France.[8]

Island of Montreal

Chabonneau and his wife raised a family at Ville-Marie: Anne (born 1657), Joseph (1660), Jean (1662), Élisabeth (1664), and Michel (1666).[3]

After some years they moved from Ville-Marie to Pointe-aux-Trembles (on the eastern tip of Île de Montréal), and there he built a windmill, with his son and, their partner Pierre Dagenets (Dagenais).[6]

Sur l'île Jésus / On the île Jésus

Sa fille Anne ayant épousé Guillaume Labelle en 1671,[5] Olivier Charbonneau s'établit dans la région qui constitute aujourd'hui la paroisse St-François-de-Sales de Laval, dont il devient le premier résident permanent avec son gendre.[6] Il est considéré comme étant le premier citoyen de la ville de Laval, au nord de Montréal. C'est le 29 octobre 1675 qu'Olivier Charbonneau avait obtenu la première concession de terre à cet endroit. Pierre Boucher, auparavant gouverneur de Trois-Rivières devenu procureur de Monseigneur de Québec,[10] a signé l'acte de vente.[5] Olivier y a laissé sa marque, car, ainsi que la majorité de ses contemporains, il ne savait signer !


His daughter Anne married Guillaume Labelle in 1671.[5] Olivier Charbonneau settled in the region which today constitutes the parish of St. Francis de Sales in Laval, where he became the first permanent resident with his son-in-law.[6] He is considered as the first citizen of the city of Laval, on the island north of Montreal. On October 29, 1675 Olivier Charbonneau received the first land grant in this area. Pierre Boucher, formerly governor of Trois-Rivières became Procurator of the Prelate of Quebec François de Laval,[10] who signed the deed of sale.[5] Olivier has left his mark there, because, like the majority of his contemporaries, he did not know know how to write!

Death

Charbonneau died in Pointe-aux-Trembles, Quebec on 20 November 1687, aged 74 years. and his burial took place the same day at Rivière-des-Prairies, close by.[3]

Notable descendants

Legend

See also

References

  1. 1.0 1.1 1.2 1.3 1.4 1.5 1.6 Source : fiche Olivier Charbonneau au Fichier Origine.
  2. Some argue that his paternal lineage originated in Nieul-sur-l’Autise, Vendée in France. Our source is the Fichier Origine; any proofs for a place other than Fontenay-le-Comte should be presented there.
  3. 3.0 3.1 3.2 René Jetté, Dictionnaire généalogique des familles du Québec, des origines à 1730, Les Presses de l'Université de Montréal, 1998 ISBN 2-7606-0646-5
  4. "Fichier Origine". Retrieved 27 September 2013. 
  5. 5.0 5.1 5.2 5.3 5.4 According to « Olivier Charbonneau - un pionnier de Montréal, A Montreal pioneer in French and English ».
  6. 6.0 6.1 6.2 6.3 Dominique-M. Charbonneau, Dictionnaire des mariages des Charbonneau. Montréal : Roger et Jean Bergeron, 1973 (cité dans Henri Charbonneau, Charbonneau, comme dans fabricant de charbon, chronique réalisée en collaboration avec la Société de généalogie de l'Outaouais, Inc., parue le 24 février 1994 (page archivée sur web.archive.org)).
  7. La transcription de ce contrat est parue dans La Presse, Montréal 14 janvier 1984; ce contrat et cette transcription, de même que l'acte de quittance, sont reproduits (pp. 6 à 8) dans Le Lévis généalogique (Bulletin de la Société de généalogie de Lévis), Volume 6, no. 1 (Automne 2006), article Mon ancêtre, Olivier Charbonneau, par Dora Charbonneau Murphy, pp. 5-12.
  8. 8.0 8.1 Gervais Carpin, Le Réseau du Canada. Étude du mode migratoire de la France vers la Nouvelle-France (1628-1662), Septentrion, 2001, ISBN 2894481977, September 2013, pp.228-229. See diagram representing the genealogical links between these immigrants, p.230.
  9. The transcription of this contract appeared in La Presse, Montréal 14 January 1984; this contract and this transcription, same as "l'acte de quittance", are reproduced (pp. 6 - 8) in Le Lévis généalogique (Bulletin de la Société de généalogie de Lévis), Volume 6, no. 1 (Automne 2006), article Mon ancêtre, Olivier Charbonneau, by Dora Charbonneau Murphy, pp. 5-12.
  10. 10.0 10.1 Monseigneur de Laval est seigneur de l'île, au nom du Séminaire de Québec.
  11. "Hubert Charbonneau entry translated". Retrieved 28 September 2013. 
  12. "Programme de recherche en démographie historique (PRDH)". University of Montreal. Retrieved 28 September 2013. 
  13. "L'Association des Charbonneau d'Amérique" (in French). 
  14. "Les charbonneaux du vieux continent" (in French). 

External links

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