Francoise de candie

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MAISON DE CANDIE / CASA DE CANDIA

Source : Annuaire de la noblesse de France 1861 Gallica : [[1]]

CANDIE Ancienne maison de Savoie, dont étaient François de Candie, vidame de Genève, capitaine du château de l'Ile sur le Rhône en 1377 ; et Jacques de Candie, seigneur de Loese, qui fut lieutenant d'une compagnie de 50 lances des ordonnances de Savoie, sous le comte Pont de Vaux vers 1580, le poete Gauvain de Candie, Guillaume Camille Alfred de Candie de Saint-Simon (1823-1895)Malacologiest. La maison de Candie s'est éteinte après avoir contracté des alliances avec les Conzié, les Mareschal, les Becerel, etc.

La maison de Candie est venue s'établir au Xe siècle dans la region de Genève, c'est une des plus anciennes et des plus illustres familles de Savoie, la maison eut pour berceau l'ancien château ce nom, le Château de Candie situé a Chambèry-le-Vieux, près de Chambèry en Savoie. Elle est venue s'établir au XVe siècle dans les provinces de Bresse et de Bugey, qui furent cédées à la France en échange du marquisat de Saluces par le traité de Lyon de 1601. Parmi ses rejetons, les uns continuèrent à rester au service des ducs de Savoie, les autres passèrent au service de France.

Armes : de gueules, semé de fleurs de lis d'or, à la bande d'azur, brochant sur le tout.

Filli Angerii DE CANDIÆ

Fitz Anger - Filangieri de Candia

Maison d’Anjou

Le nom de la famille est à l'origine un surnom normand pris par quatre frères (Filli Angerii en latin): « Fitz Anger », c'est-à-dire, « fils Anger » (« fils d'Anger » ; Anger étant un nom propre).

La famille de Candiæ Filangieri di Sanseverino (de Candie / de Candia) est une grande famille gallo-romaine de la noblesse franco-italienne d'origine normande du Regno dei Burgondia, appartenant au baronnage italo-normand et bien implantée dans le Lemencum le relais implanté dans l'actuel quartier du Kandium (Skænd) à Chambéry-Levieux des ducs de Savoie. Au Moyen Âge, la ville change de nom lors de l'édification du château par le Chrispine de Candie segnieur d’Arnès et baron de Loese (Lunenburg); et dans la moitié sud la péninsule d’europe depuis le milieu du XIe siècle. Elle occupe une place importante dans l'histoire du royaume de Sardegna-Savoie et du royaume de Sicile et de l'Italie méridionale dans le comté puis duché d'Apulie, même après la chute des Hauteville à la fin du XIIe siècle. Le nom de la famille Filli Angierii de Candiæ est toponimique, est à l'origine de un brache cadette de un surnom normand pris par quatre frères (Filli Angerii en latin) : « Fitz Anger », c'est-à-dire, « fils Anger » (« fils d'Anger » ; Anger étant un nom propre). Á l'origine de cette famille, un noble normand du nom de Roger d'Arnes (Normandie), qui semble appartenir à la famille ducale normande, issue du chef viking norvègien Rollon le Marcheur. Roger d'Arnes meurt le 2 novembre 1023. On lui connait au moins deux enfants, deux fils qui quittent le duché de Normandie pour l'Italie: Turgis et Anger devenran en Italie des comtes de Sanseverino, linee normand des Sanseverino ou Saint-Sévèrine. • Turgis, devenu en Italie comte de Sanseverino et de Rota, meurt en novembre 1081. En 1067, il est excommunié par le pape Alexandre II. En effet, avec Guillaume de Hauteville et Guimond de Moulins, deux Normands, il s'est emparé des biens appartenant à l'archevêché de Salerne. Il est la l'origine de la branche familiale des Sanseverino ; • Anger, valeureux guerrier, est un compagnon de Robert Guiscard avec qui il arrive en Italie vers 1047, faisant probablement partie de la bande de ce dernier en Calabre. Il reçoit plus tard des terres dans la région de Salerne et meurt en avril 1104. Inhummé dans l'église de Cava de’ Tirreni (près de Salerne). Il est à l'origne de la branche familiale des Filangieri branche familiale des de Candie implantée dans le Lemencum (Savoie). Quatre fils d'Anger prennent plus tard le surnom de « Fitz Anger », « Fils Anger », qui donne plus tard le nom de famille italien : Filangieri. Le cadet de ces frères, Tancrède Filangieri (Tancrède Fitz Anger/Fils Anger), est mentionné comme faisant parti des principaux barons normands présents lors du couronnement à Palerme de Roger II de Sicile (1130). Plus tard, Richard Filangieri (Riccardo Filangieri), est, dans la première moitié du XIIIe siècle, maréchal d'Empire du royaume de Sicile (sous domination des Hohenstaufen) et de l'Empire germanique, dirigés par le roi-empereur Frédéric-Roger de Sicile.

La famille Filli Angerii est issue de la Maison d’Anjou: • est issue de la Maison Filangieri • est issue de la Maison de Candiae Les possessions normandes au XIIe siècle

Le baronnage gallo-romaine ou italo-normand correspond à la noblesse originaire du duché de Normandie qui s'est implantée d'abord en Italie méridionale à partir de la première moitié du XIe siècle, puis en Sicile, conquise par les Normands de 1061 à 1091, à partir de la seconde moitié du XIe siècle. Si de nombreuses familles de cette noblesse italo-normande sont issues de la noblesse du duché normand, certaines de ces familles sont issues de simples aventuriers normands sans fortune, de cadets de famille sans grand avenir en Normandie, de bannis, de mercenaires, de brigands, etc. Ces familles ne sont pas toutes d'origines normandes, car certaines sont d'origines bretonnes, un certain nombre d'aventuriers bretons ayant accompagné les bandes normandes en Italie dès les années 1030 au moins, tandis que certaines sont d'origines franques. Ces familles tissent très vite de nombreux liens avec la vieille noblesse lombarde (langobarde) locale, issue des duchés et principautés lombards de Bénévent, de Salerne, de Capoue, etc., ainsi qu'avec la famille ducale de Naples (d'origine grecque). Ainsi, les frères Hauteville, comme Guillaume Bras-de-Fer, Drogon, Onfroi ou encore Robert Guiscard, épousent quasiment tous des princesses lombardes. Comme pour la noblesse gallo-normande implantée en Angleterre (cf. baronnage anglo-normand), en Italie du Sud il s'agit d'une noblesse nouvelle et d'origine étrangère vis-à-vis d'une population autochtone, largement majoritaire, mais comportant également de nombreux groupes humains, d'origines, de cultures, et même de religions très diverses chrétiens (Catholiques), Lombards d'Italie méridionale (Langobards), en Sicile notamment, Orthodoxes, etc. Cette noblesse, turbulente et de plus en plus puissante et influente, se rebelle fréquemment contre l'autorité, d'abord du comté puis duché d'Apulie, puis contre l'autorité de Palerme, siège de la cour royale normanno-sicilienne. Les membres de ces familles sont les tenants-en-chef de la domination normande en Italie puis du royaume normanno-sicilien, proclamé en 1130 par le petit-fils d'un petit noble normand du Cotentin, Roger de Hauteville, 3e comte de Sicile et 1er roi normand de Sicile sous le nom de Roger II de Sicile. La noblesse italienne et sicilienne d'origine normande survit après la chute du royaume normand, bien qu'elle soit un temps durement réprimé dans les années 1190, lorsque la dynastie Hohenstaufen s'empare du pouvoir (massacre de nombreux barons normands sous le roi Henri le Sévère). Cependant, un bon nombre de ces familles préfèrent se soumettre à cette nouvelle domination et à servir les Hohenstaufen, conservant ainsi leurs biens. Principales familles d'origines normandes • Famille D'Altavilla ; • Famille Quarrel-Drengot ; • Famille Filangieri de Candie ; • Famille Bassunvilla ; • Famille Chiaromonte ; • Famille De Molisio ; • Famille Francisio ; • Famille Sanframondo ; • Famille Della Marra ; • Famille Guarnieri ; • Famille Bassavilla ; • Famille De Tivilla ; • Famille Gesualdo ; • Famille Macabeo ; • Famille Loffredo ; • Famille Gironda ; • Famille Guarini di Poggiardo Bibliographie • François Baruchello, Les Normands d'Italie, des barbares de génie, Lagonegro, Zaccara, 2004 ISBN 2915690006 • Giovanni Coppola, Trésors romans d'Italie du sud et de Sicile, Milano, Elio Sellino, 1995 • Jean Deuve, L'épopée des Normands d'Italie, Condé-sur-Noireau, Corlet, 1995 ISBN 285480497X • Gabriel Du Moulin, Les Conquestes et les trophées des Normand-François aux royaumes de Naples & de Sicile, aux Duchez de Calabre, d'Antioche, de Galilée, & autres principautez d'Italie et d'Orient, Rouen ; Montréal, D. Du Petit Val ; BNQ, 1658 ; 1984 • Arthur Engel, Recherches sur la numismatique et la sigillographie des Normands de Sicile et d'Italie, Paris ; Bologne, Leroux ; Forni, 1882 ; 1972 • E. Héon, Les Normands d'Italie, Constances, 1866 • Léon Robert Ménager, Recueil des actes des ducs normands d'Italie, 1046-1127, Bari, Grafica Bigiemme, 1980 Voir homophones|Compte|Conte (homonymie) Voir homonymes|Comte (homonymie) Le titre de comte' du latin comes, « compagnon » est un titre de noblesse situé dans la hiérarchie entre le vicomte et le marquis. L'origine de ce titre remonte aux premiers empereurs romains ; sous le règne dAuguste, on voit des sénateurs choisis pour son conseil porter le nom de comites Augusti.

DE CANDIÆ - Europe et mariage

Le Marquis Giovanni Mateo de Candia dei Regno di Sardegna, a épousée en 1788 Guilia Grissi au Palace de Candia, et qui lui a donné deux enfants ; le marquis abandonne son commandement, installe à sa place son homme de confiance et rentre en Europe l'année suivante, avec une princesse la belle Cecilia de Candia. La famille installe son ménage dans les environs de Paris et de Londres, Cecilia ce qui ne l'empêche pas d'épouser, une anglaise émigrée, le Lord Pears issue d'une très noble, antique et fort désargentée famille originaire de Londres. Pour conclure ce mariage avantageux, Cecilia laissé planer le mystère sur ses origines. Son désir semble être alors, après avoir mené une vie aventureuse, de fonder une famille et de s'établir en Europe ce que les relations mondaines de femme, espère-t-il, faciliteront sa carrier de redactrix. Le Marquis de Candia habitant seul le château de Candie, qu'il avait fait luxueusement aménager pour son épouse, laissant sa femme vivre sa vie parisienne. Il avait reçu déjà des Bourbons un brevet de "Marechal de camp", daté du 20 octobre 1814 et la croix de Saint-Louis le 6 décembre. On honorait ainsi Lord Pears, le mari de Mlle Cecilia de Candie, et les Tuileries le "désaventuialiaient" si l'on peut dire pour faire plaisir à la comtesse. Cependant Louis XVIII lui octroyait, le 27 février 1815 la Légion d'Honneur pour ses services comme président du Conseil Général du Département du Mont-Blanc. Très attaché aux doctrines royalistes, de Candie fut un ardant partisan du gouvernement sarde. Victor-Emmanuel, roi de Sardaigne et Duc de Savoie lui octroyait en 1816 le titre de Comte de Savoie-Sardaigne (plus tarde d’Italie); Charles-Felix le faisait Grand'Croix des Saints Maurice et Lazare.

Chambéry

Conseil général du département du Mont-Blanc et comte par le roi de Sardaigne. Il consacra la fin de sa vie à des œuvres de bienfaisance au profit de sa ville natale.

DE CANDIE / DE CANDIA / CANDIDA (Savoie - dell'Alta Savoia, regione del Rodano-Alpi) Candie, Marquis de (XVII) Maison du Seigneur d’Arnès Candie (de) Seigneur de Loese Candie (de) Bresse (JM7595) Candie (de) Maison de Savoie, vidame de Genève, seigneur de Loese Candie (de) Seigneurs de Candie, de Chaffardon, de la valle de Cly Candie de Saint-Simon (de) Languedoc (JM7596)

Armes : de gueules, semé de fleurs de lis d'or, à la bande d'azur, brochant sur le tout. Motte: TOUT A REBOURS


I SIGNORI NORMANI DI GERACI

Serlone (II) d’Altavilla (+ in battaglia 1072), nipote di Ruggero I d’Hautville, Gran Conte di Sicilia. Sposa Aldruda, Signora di Geraci. Da loro si originò la dinastia dei Signori, poi Conti di Geraci, che due secoli dopo si estinse nei Conti di Ventimiglia: A1. Eliusa d’Altavilla , Signora di Geraci.

      = Ruggero di Bernaville, Signore di Geraci (1095), Signore di Castronovo, 
         morto in Terrasanta il 5-6-1098
      B1. Rinaldo di Bernaville, gli fu confiscata per fellonia la Signoria di Geraci.
      B2. Rocca di Bernaville (+ post 1142)
             = Guglielmo de Croen, Signore di Geraci, figlio di Ugo de Croen che aveva ottenuto dal Conte Ruggero nel 1105 la Signoria di Geraci, tolta a Rinaldo di Bernaville
  C1. Ruggero de Croaen, Signore di Geraci (post 1142).
                     = Margherita, di origine normanna

I SIGNORI D’ARNES --- Seigneur d'Arnès

Signiori di Arnes, cavalieri normano della Maurienne nell Regno di Burgondia, post 1100, D1. Guerrera de Croen d’Altavilla, Contessa di Geraci (dal 1195).

                     = sposa Guidone de Chateaubriant, signiore d’Arnes (Vitone Kasstel-Briænt)
                Baron de la Signoria de Candie nell Ducat de Savoie, e Conte Francorum d’Ischia

E1. Ruggero de Candia, capodespite di Casa Candia / Maison de Candie Signiore d’Arnes, Baron du Chateau de Candie, Conte d’Ischia e di Geraci.

      = sposa 1212, Elisabetta de Croaen-Nevers 

F1. Alduino de Candia-Nevers (+ 1234),

Signore de Candie-Nevers,Conte d’Ischia e di Geraci.

                                          = Isabella dei Normanni

G1. Elisabetta de Candiae, Contessa di Geraci.

      = post 1242 Enrico I Conte titolare di Ventimiglia, Conte di Geraci, Signore di Gangi e delle Petralie, dai quali traggono origine i Ventimiglia di Sicilia (v.) 

DE CANDIA VENTIMIGLIA: Conti di Geraci

Guglielmo II Ventimiglia, natto Gugliemo de Candiae-Nevers (+ 1250), Conte di Ventimiglia, Lozana e delle Alpi Marittime; più volte Geneve nel corso del secolo precedente aveva ridimensionato le ambizioni dei Conti di Ventimiglia, ottenendone la sottomissione. Nel 1237 dopo la vittoria imperiale di Cortenuova, Federico II pretendeva l’omaggio di Genova, ma non l’ottenne. Egli aveva già cancellato ogni privilegio dei Genovesi in Sicilia, ma l’ostilità da quel momento divenne aperta; nel 1238 Genova assedia dal mare la rocca di Ventimiglia; nel 1242 Guglielmo II, con il figlio Enrico trasferisce la sua piccola corte in Sicilia presso l’Imperatore Federico II. Sposa Emma (o Stemma), che le antiche fonti indicavano come presunta figlia dell’Imperatore Federico II.

A1. Elisabetta de Candia dei Conti d’Ischia, Contessa ereditaria di Geraci e di Ischia Maggiore, Signora di Buscemi.

= post 1242, Enrico I (* 1226 + 1266), Conte di Ventimiglia (titolare), 1° Conte di Geraci e di Ischia Maggiore, Signore di Gangi e delle Petralie (1258), Signore di Gratteri ed Isnello (o Asinello), Capitano Generale degli Eserciti di Re Manfredi, Vicario del Regno a Napoli.

B1. Pietro de Candia Ventimiglia, detto “Pietruccio” (+ premorto al padre). B2. Aldoino (+ naufragio nei pressi di Capo Palinuro mentre era al comando di tre galere aragonesi 5-9-1289), Conte di Ventimiglia (titolare) e di Ischia Maggiore, 2° Conte di Geraci, Signore delle Petralie, di Gangi, di Gratteri e di Isnello. B3. Enrico II (* 1245/1250 + 1300), Conte di Ventimiglia (titolare) e di Ischia Maggiore, 3° Conte di Geraci, Signore delle Petralie, Gangi, Gratteri, Isnello, e Caronia; fonda la terra di Castelbuono ove erige un nuovo castello; privato di tutti i suoi feudi sia in Sicilia che in Liguria (valle di Oneglia) da Carlo d’Angiò, ne ottiene la reintegrazione dopo la guerra dei Vespri dal nuovo sovrano Federico d’Aragona, che lo invia come suo Ambasciatore a Genova nel 1299. = Jacona

C1. Francesco I de Candia (+ cade all’assedio di Geraci, precipitando da una rupe del castello con il suo cavallo 1338), 4° Conte di Geraci dal 1308, 1° Conte di Collesano (1305), Barone di Gratteri, di Pettineo, Signore di Gangi, di Reggiovanni, delle Petralie, di Tusa, di San Mauro, di Pollina, di Caronia (1296) e di Castelbuono, Ambasciatore di Re Federico d’Aragona al Papa Giovanni XXII ad Avignone nel 1303, nel 1321 ottenne di titolarsi Conte “Dei gratia”, Gran Camerario del Regno nel 1336; vittima di un complotto fu accusato di fellonia e privato dei feudi. a) = 1315 Costanza Chiaramonte, figlia di Manfredo I 1° Conte di Modica e di Isabella Musca (o di una Beatrice), ripudiata nel 1322 (questo divorzio provocò una faida con la famiglia Chiaramonte); b) = Margherita d’Antiochia (* ca 1285), figlia di Corrado I, Principe titolare d’Antiochia, Conte di Capizzi, di Celano, di Alba e di Beatrice Lancia dei Conti di Butera e zia di Federico d’Antiochia, morto nel 1337, marito di Margherita de Cunsolo, che invece diversi storici indicano come madre degli undici figli di Francesco Ventimiglia, del quale poi da vedova sarebbe diventata la moglie, benché anche questi morisse l’anno dopo nel 1338.

D1. [ex 2°] Emanuele de Candia (+ 1362), reintegrato nei possedimenti paterni, 5° Conte di Geraci, Signore di Gangi, di Regiovanni e del castello di Sperlinga (investito nel 1354), Signore di Tusa, di Caronia e di Castelbuono. Vendette il castello e la terra di Sperlinga al fratello Federico con atto 15-2-1360. = ………..

E1. Francesco (+ ante 1362).

D2. [ex 2°] Francesco II de Candia (+ 1391), 2° Conte di Collesano dal 1354, 6° Conte di Geraci dal 1362, Barone di Gratteri, Capitano a Guerra e Castellano di Polizzi nel 1356, Signore delle Petralie, di Pollina, di San Mauro e d’Isnello dal 1377, Barone di Ganci, di Reggiovanni, Signore di Tusa, di Caronia eCastelbuono, Gran Camerario del Regno di Sicilia dal 1353, Vicario del Regno di Sicilia nel 1377. = 1350 Elisabetta di Lauria, figlia di Niccolò Signore di Taormina e di Albertina Abbate (v.)

E1. Aldoino de Candia (+ premorto al padre). E2. Enrico de Candia (+ 1398), 7° Conte di Geraci (investito nel 1392), Signore di Gangi, di San Mauro, di Castelluccio, di Tusa, di Pollina e di Castelbuono; ribelle subì la confisca dei beni, restituiti poi da Re Martino nel 1394. a) [ex 1°] = 1362 Costanza Rosso, figlia di Enrico II Conte di Aidone e Maestro Razionale del Regno di Sicilia e di (+ ante 1375) (v.) b) [ex 2°] = 1375 Bartolomea d’Aragona, figlia di Bartolomeo Conte di Cammarata e Barone di Militello c) = Giovanna di Tocco, figlia di Leonardo I Conte Palatino di Cefalonia e di Maddalena Buondelmonti (v.)

F1. [ex 2°] Giovanni I de Candia et d’Aragona (* 1382 + Castelbuono 1473), capostipite dei Marchesi di Geraci e Principi di Castelbuono

8° Conte di Geraci (investito il 1408) e 1° Marchese di Geraci (investito nel 1448), Signore di Castelbuono, Tusa, Gangi, S. Mauro, Pollina, Caronia nel 1412, Pretore di Palermo nel 1416 e 1417, Grande Ammiraglio del Regno, , Generale di Santa Romana Chiesa, fu Viceré di Sicilia 1430/1432 e                     Viceré di Napoli

F2. [ex 2°] Elisabetta de Candia, ebbe in dote la Portulania di Girgenti. = 1411 Gualtierio Paternò e Spadafora 5° Barone di Burgio e Imbaccari (v.)

E3. Isabella = 1362 Giovanni Chiaramonte e Moncada dei Conti di Modica E4. Eleonora = (matrimonio dubbio) Giacomo d’Aragona, Barone di Caccamo, Calatafimi, Alcamo, Sortino,Clafani, Manfrida e Mussomeli, Gran Connestabile del Regno d’Aragona, Vicario della Val di Mazzara (+ Perpignano 1408). E5. Jacopella o Giacomina de Candia = 1361 Matteo Chiaramonte e Moncada 6° Conte di Modica e Gran Ammiraglio del Regno di Sicilia (+ 1377). E6. Antonio de Candia (+ esule a Malta 1415), 3° Conte di Collesano (investito nel 1392), Barone di Gratteri, Signore della Roccella, delle Petralie, di Isnello, di Bilichi, di Caronia e del suo castello, Vicario del Regno nel 1390 e Gran Camerario nel 1392; ribelle alla corona dei Martini, morì esule. a) = Margherita Peralta, figlia di Guglielmo Conte di Caltabellotta e di Eleonora d’Aragona dei Duchi d’Atene b) = Elvira Moncada, figlia di Matteo I 2° Conte di Adernò (v.)

F1. [ex 1°] Francesco (+ 1452), Barone di Gratteri e del suo castello (1418), Signore della Roccella, diseredato dal padre della Contea di Collesano; fu capostipite dei Conti di Prades. F2. [ex 1°] Giovanni, lottò insieme al fratello per riottenere la Contea di Collesano. = …………. F3. [ex 2°] Enrico (+ premorto al padre). F4. [ex 2°] Costanza, erede della Contea di Collesano, della terra d’Isnello, delle Petralie, ecc. = Gilberto Centelles Conte di Valenza poi Conte di Collesano, con la terra d’Isnello, ecc. E7. Eufemia = 1373 Manfredi III Chiaramonte 7° Conte di Modica (1377), Barone di Alcamo, Bivona, Calatabiano, Cefalù, Erice, Mistretta, Mussomeli, Nicosia, Partanna, Polizzi, Siculiana, ecc.(+ 1391). E8. Francesco Uberto detto “Chicco” (+ ante 1402), dapprima diseredato per aver rifiutato il sacerdozio, ottenne poi dal Re Martino I la Baronia di Bordonaro ed il castello e la Baronia di Regiovanni (investito il 11-12-1396 e 13-8-1398), ed i feudi di Verbumcaudo e di Catuso (dei quali s’investì il 16-12-1396). = ……….. F1. Antonio, 2° Barone di Bordonaro e 2° Barone di Regiovanni (investito 23-8-1453 dopo una lunga controversia con altri pretendenti) = … … G1. Francesco, 3° Barone di Bordonaro e 3° Barone di Regiovanni (investito 18-12-1475). = …… H1. Antonello, 4° Barone di Bordonaro e 4° Barone di Regiovanni (investito 7-6-1487) = Eleonora … I1. Giovanni (+ 1550), 5° Barone di Bordonaro e 5° Barone di Regiovanni (investito il 14-4-1529), suddivise ai figli il feudo di Bordonaro.= …… J1. Federico (+ ante 1561), 6° Barone di Regiovanni (investito il 9-1-1551) e Barone di Bordonaro Soprano, fu Gran Cancelliere del Regno nel 1555. = sposa Giulia Requesenz e Requesenz dei Conti di Buscemi, Signori di Pantelleria (v. oltre)

K1. Giovanna 7° Baronessa di Regiovanni (investita il 15-6-1561), Baronessa di Bordonaro Soprano e Baronessa di Bordonaro Sottano, che riacquista e di cui s’investe il 13-11-1586. = sposa Carlo Ventimiglia e Montcada, dei Marchesi di Geraci (v.) J2. Laura, Baronessa di Bordonaro Sottano (investita il 12-10-1540). = (dotali 8-6-1540) sposa Michele La Farina e Santacolomba, Barone di Aspromonte I2. Giuseppe I3. Agatuccia = sposa conte Puccio de Omodeis (dotali 26-2-1512) Palermo, I4. (collocazione incerta) Giovanna = sposa conte Girolamo de Platamone

F2. Fiordiligi, erede del feudo di Verbumcaudo. = sposa Giovanni di Ventimiglia e Chiaramonte dei Marchesi di Geraci (v.) F3. Eufemia D3. [ex 2°] Guido o Vito, Signore di Malta e Gozo, ricoprì le cariche di Prefetto di Trapani nel 1361 e castellano di Piazza. D4. [ex 2°] Guglielmo, 1° Barone di Ciminna (investito il 2-11-1371).= …………. E1. Guglielmo, 2° Barone di Ciminna, 1° Barone di Diesi (investito il 2-7-1398). = Giovanna Moncada, figlia di Guglielmo Raimondo III 3° Conte di Augusta e di Stefania Carros (v.) F1. Isabella, erede della Baronia di Ciminna. = il cugino Giovanni I Ventimiglia 1° Marchese di Geraci (v.) D5. [ex 2°] Isabella = Enrico Rosso Conte di Aidone (v.) D6. [ex 2°] Ruggero, Governatore della terra di Aurigo in Liguria nel 1333. D7. [ex 2°] Aldoino, nel 1377, al comando di una flottiglia angioina partita da Napoli, approdò in Sicilia nel tentativo di riconquistare le terre paterne, ma fallì e morì esule a Napoli. D8. [ex 2°] Giovanni o Giordano, diede origine ai Ventimiglia di Montemaggiore D9. [ex 2°] Filippo, Barone di Pettineo, Signore di Riesi e Cipolla. = Costanza Abbate

E1. Antonio, Signore di Riesi e Cipolla (investito nel 1453). E2. Filippo Barone di Pettineo =…….

F1. Andrea detto Andreotto, Signore di Riesi e Cipolla, muore senza eredi. F2. Maria, erede della Baronia di Pettineo (investita nel 1475) e del feudo di Cipolla. = Artale de Cardona Conte di Collesano F3. Ilaria, eredita dal Fratello la Signoria di Riesi.

D10. [ex 2°] Antonio, diede origine ai Ventimiglia di Sinagra D11. [ex 2°] Federico, 3° Barone del castello e della terra Sperlinga, che compra dal fratello Emanuele con atto del 15-2-1360.= ……..

E1. Giovanni, 4° Barone del castello e della terra Sperlinga (investito nel 1408), Signore di Ucrìa e di Maniace, Pretore di Palermo.= sposa contessa Agata di Peralta e Chiaramonte

F1. Federico, Capitano di Giustizia a Palermo, Pretore di Palermo nel 1422 e 1423, cede la Baronia di Sperlinga alla cugina Giovanna Ventimiglia e Ventimiglia, figlia del 1° Marchese di Geraci (1453), ed acquista da Giliberto La Grua la terra di Vicari nel 1450. = Margherita Bonifacio, erede dei castelli di Calvaruso e Monforte e del casale di Bauso G1. Margherita = Giliberto La Grua Talamanca Signore di Carini (v.) G2. Giovanni Guglielmo (o Giacomo), 6° Barone del castello e della terra Sperlinga, 5° Barone di Ciminna, (investito 25-6-1479) per rinunzia e donazione della cugina Giovanna Ventimiglia e Ventimiglia, 2° Signore di Vicari (investito 1453), che rivende a Giliberto La Grua nel 1463.= ……

H1. Paolo, 7° Barone del castello e della terra Sperlinga, 6° Barone di Ciminna, (investito il 25-5-1504).= ……

I1. Guglielmo, 8° Barone del castello e della terra Sperlinga, 7° Barone di Ciminna (investito il 10-1-1516), Capitano di Giustizia a Palermo nel 1517, ove soffocò nel sangue la rivolta di Luca Squarcialupo nel medesimo anno, fu Pretore di Palermo nel 1542/1543. = Brigida Alliata e La Grua, figlia di Giacomo Barone di Castellammare e di Antonia La Grua Talamanca dei Baroni di Carini (v.), già vedova diGiovanni Antonio Alliata e Spadafora dei Baroni di Solanto.

J1. Maria 9° Baronessa del castello e della terra Sperlinga, 8° Baronessa di Ciminna, (investita il 11-5-1553).= Simone II Ventimiglia e Moncada 7° Marchese di Geraci (v.) J2. Antonia F2. Isabella, erede della Signoria di Ucrìa e del castello di Maniace. = Gabriele Abbate e Chiaramonte, investito di Ucrìa e Maniace nel 1453. C2. Bellina (+ post 1311)= forse Pietro Ferrandi B4. Guglielmo, 1° Barone di Buscemi per eredità materna, di cui ottenne la concessione per antico possesso con privilegio del 15-9-1327.= … … C1. Enrico, 2° Barone di Buscemi e 1° Signore di Gulfara per privilegio di conferma del Re Federico del31-5-1370. = sposa Filippa …… D1. Guglielmo (+ 1408), 3° Barone di Buscemi (investito il 3-4-1408) e 2° Signore di Gulfara. D2. Antonio (+ ante 1408) =…….. E1. Francesco (+ ante 1453), 4° Barone di Buscemi e 3° Signore di Gulfara, di cui risulta possessore nel ruolo dei feudatari del 1408, ma non ne prese investitura =…..… F1. Gaspare, 5° Barone di Buscemi e 4° Signore di Gulfara (di cui prese investitura il 31-7-1453), 1° Barone di Passaneto investito “maritali nomine” il 15-5-1474. = Caterina Statella e de Castellis, Baronessa di Passaneto, investita il 22-12-1453 come dotataria del padre. G1. Giovanni (+ 1489) 6° Barone di Buscemi e 5° Signore di Gulfara, non prese investitura. G2. Francesco (+ 1510) 7° Barone di Buscemi e 6° Signore di Gulfara (investit il 9-7-1490 di entrambi).= ……. H1. Gaspare, 8° Barone di Buscemi (investito il 27-5-1511) e 7° Signore di Gulfara. = sposa a Catania, la contessa Antonia de Federico e Balsamo I1. Antonia, 9° Baronessa di Buscemi e 8° Signora di Gulfara, non prese investitura

I2. Giulia, 10° Baronessa di Buscemi (investita il 9-12-1528), 9° Signora di Gulfara; ottenne dal Re Filippo II il titolo di Conte di Buscemi con Privilegio del 31-3-1556 (esec. 17-2-1557, investita 30-12-1557). a) = sposa Bernardo de Requesenz 3° Signore di Pantelleria, fu Gran Cancelliere del Regno, Capitano di Giustizia e Pretore di Palermo, Stratigoto di Messina (+ Messina 25-11-1537); b) = sposa Filppo d’Aragona J1. Giuseppe de Requesenz (+ Marsala, 1598) 4° Signore di Pantelleria e 1° Conte di Buscemi, fu Castellano del Castello a mare di Palermo e Gran Cancelliere del Regno = Anna Requesenz dei Baroni di San Giacomo K1. Giulia Requesenz = Federico Ventimiglia 6° Barone di Regiovanni e Bordonaro Soprano (v. sopra)

H2. Elisabetta de Candia = Giovanni de Marchisio dei Baroni di Scaletta

G3. Ingutterra, 2° Barone di Passaneto per donazione materna, non prese investitura; essendo però il suo matrimonio improle, il feudo tornò alla madre Caterina Statella = sposa a Catania, Raimondetta di Moncada e Corilles (+ testamento 20-7-1512). G4. Sigismondo = ….…

H1. Giovannello de Candia, 3° Barone di Passaneto investito il 24-1-1506 per atto di donazione dell’ava Caterina Statella H2. Pietro (+ testamento: 5-5-1532) 4° Barone di Passaneto investito il 26-2-1512 per atto di donazione dell’ava Caterina Statella. Con privilegio dato in Toledo il 30-9-1525, ottenne dall’Imperatore Carlo V e dalla Regina Giovanna la facoltà di edificare un castello sul territorio della baronia. a) = Spadafora b) = (dotali: 1-4-1523) Francesca dei Sgalambro

I1. [ex 1°] Isabelluccia (+ ante 1547) 5° Baronessa di Passaneto investita il 14-6-1532. H3. Ercole de Candia, 6° Barone di Passaneto investito il 24-3-1547.= … … I1. Antonio (+ testamento: 24-6-1559) 7° Barone di Passaneto investito il 16-7-1552, per la morte del padre. = sposa, donna nobile Antonella Francica figlia di Simone e Margherita Arbera J1. Un figlio, probabilmente premorto al padre = sposa, la nobile donna Agatuccia

K1. Francesco Giorgio, 8° Barone di Passaneto investito il 29-8-1569, per la morte dell’avo Antonio, fu rappresentato per l’occasione dalla madre Agatuccia =……….

L1. Ettore, 9° Barone di Passaneto investito il 7-10-1594, per la morte del padre.= ……… M1. Bernardino, 10° Barone di Passaneto investito il 29-3-1608, per la morte del padre = sposa la nobile donna de Requesenz N1. Giovanna, 12° Baronessa di Passaneto investita il 20-6-1630 per la morte senza eredi di Bernardino suo fratello = Giuseppe Cannizzaro N2. Bernardino (* postumo + post 1626), 11° Barone di Passaneto investito il 4-8-1626, per la morte del padre. D3. Eleonora = Bartolomeo Gioeni, 1° Barone di Castiglione e Novara di Sicilia A2. Elisabetta = 1246 Enrico I Rosso Conte di Aidone e Signore di Cirami (v.)

DE CANDIA DI SANSEVERINO / DE CANDIE DE SAINT-SEVERINE

Crispino, Signore di Arnes, cavaliere normanno della stirpe di Rollone Duca di Normandia.

Ruggero (+ 2-11-1023), cavaliere normanno forse figlio di Crispino, Signore di Arnes. Alcuni documenti custoditi nell’abbazia di Cava de’ Tirreni invece menzionano Ruggero cavaliere normanno fu padre certo di Turigisio e Angerio e probabilmente di un Silvano.

Filli della linea dei Normanni di Sanseverino, vennen in Savoia e doppo in Italia al seguito di Roberto d’Hauteville per difundire la fe Christiana per la croxiata.

• Turigisio Signore di Sanseverino e Rota, (+ ca. XI-1081 sepolto nella chiesa della SS. Trinità di Cava de’Tirreni), cavaliere normanno;capostipite dei Sanseverino. Sposa N.N. Signore di tutti i castelli della valle di Rota (Roccapiemonte, Santa Maria a Castello di Lanzara, Nocera, Castel San Giorgio, Bracigliano, Forino ecc.); cavaliere devoto della SS. Trinità; fece donazioni al monastero benedettino della SS. Trinità di Cava.

• Angerio Signore di Arnes, ( + XI 1104 sepolto nella chiesa della SS. Trinità di Cava de’Tirreni), cavaliere normanno dei Sanseverino, capostipite dei Kandium Filii Angius, detto Filangieri de Candiæ; cavaliere devoto della SS. Trinità. Signore di castelli di Candia a Lomellina e Castello-Forste di Candie a Terra Candia a Chambery, e 7 terreni situati a Piedimonte e nella Savoia, donò un territorio posto a Roccapiemonte, e donò a la Santa Chiesa vari terreni con stabili e vassalli.


 de Candiæ famiglia della stirpe sovrana de' principi normanni, incominciata in Italia da Guidone o Vitone signore di Arnes e Loeso, barone di Castello di Candia e terra nella Savoia, con deritto terratico nell Piemonte, Bari, Ischia, SanMarzo, e Corteinpiani; figlio di Giordano de Arnes, Signore di Loeso e Cortenpiano (+ IV-1257, sepolto nella chiesa del monasterio di San Francesco d’Assissi a Nocera). Sposa la nobile donna Marotta dei Normanii, tre figli:

- Ruggero de Candiæ

- Pietro de Candiæ

- Riccardo de Candiæ

DE CANDIÆ di Tricarico Sanseverino

linea dei Conti di Avellino


Aldoino de Candiæ (ance detto Aldoino dei Filangieri o “de Candida” )+ 1294), miles, Signore di Terra Candida ante 1269, Signore di Abriola investito ante 25-1-1272, esentato dal servizio in Morea l’11-2-1272 dietro il pagamento di 13 once e 10 tarì, partecipa alla guerra contro i Paleologo di Bisanzio nel 1277, Giustiziere di Bari fino al IX-1284, Maestro Razionale della Regia Corte dal 22-9-1284. = sposa contessa Giordana di Tricarico Sanseverino, post 1250, figlia di Giacomo II Signore di Solofra, Serino e Abriola (viveva vedova 26-7-1298/12-9-1299/15-1-1306) (v.), che ereditò i feudi della sua linea. A1. Sinfredina

      = sposa (Regio Assenso: 12-5-1269) Pietro Capece Galeota Signore di Serpico, Patrizio Napoletano

A2. Riccardo de Candiæ (+ [poco dopo 20-2]-1321), Signore di Candida e Lapio investito nel 12-1284, combatte contro gli aragonesi nel 1300 cadendo prigioniero in Sicilia (liberato nel 1301 con uno scambio di prigionieri); Signore di Abriola e Solofra.

      =  sposa (al momento delle nozze ebbe dal marito come dote 1/3 dei feudi di Abriola, Candida e Solofra) Francesca della Marra (vivente 13-4-1323/18-11-1324).
B1. Filippo de Candiæ (+ 15-2-1372, sepolto nella chiesa degli Agostiniani di Candida, da lui fondata nel 1366), Signore di Candida, Lapio, Abriola e Solofra (investito nel 1330), menzionato come Ciambellano e famiglio del Re Roberto I di Sicilia nel 1334, ebbe una lite per il dominio del feudo di Lapio (parte del feudo di Candida) con il cugino Riccardo che infine glielo vende l’8-12-1341.

a) = sposa nel 1331 ca. Maria di Capua, figlia di Giacomo Gran Protonotario del Regno di Sicilia e di Roberta Gesualdo Signora di Gesualdo (* post 1300 + post 10-10-1343/ante 10-12-1345) (v.), già vedova di Enrico di Capresio – ebbe privilegio il 20-10-1342 di succedere nella baronia di Gesualdo all’esclusione del feudo di Paterno a patto che la sorella fosse morta senza eredi (Privilegio confermato a titolo postumo ai figli il 10-12-1345) – ebbe una lite per la successione sul feudo di Paterno ed in cambio della rinuncia ottenne la somma di 40 once più altre 50 once sulle rendite del feudo di Montalbano (Privilegio

        del 30-8-1343, confermato il 10-12-1343);

b) = Ilaria dell’Arena (o de Concublet), figlia di Nicola Signora d’Arena e di Caterina Sanseverino C1. (ex 1°) Giacomo de Candiæ detto “Cubello” (+ poco dopo 1392), Signore di Candida, Abriola, Solofra e Frigento dal 1372, fu procuratore del padre in una donazione del 31-10-1365, seguace del Re Carlo III di Sicilia nel 1381, Giustiziere della Basilicata verosimilmente dal 1381 (prorogato da Re Carlo III con Privilegio del 30-1-1382); investito di Avellino dal (poco prima 10-3) 1382 (feudo confiscato ai del Balzo), Signore di Frigento, Chiusano Castelvetere e Santo Mango, 1° Conte di Avellino (in realtà 8° se si considera la successione dai del Balzo) e Maresciallo del Regno di Sicilia dal 1392, compra il feudo di Montemarano con Regio Assenso del 17-4-1382, compra il castello di Tito con Regio Assenso del 17-10-1382, investito del feudo di Pietraperciata l’8-12-1382, Ciambellano di Re Ladislao I.

= sposa Giovanna (Giovannella), figlia di Lanzillo Minutolo, Patrizio Napoletano, e di Maria d’Aquino – ebbe 30 once in occasione del suo matrimonio come dote dal marito sul feudo di Lapio; fu tutrice del nipote Matteo Riccardo ed ebbe una causa con la nuora e il nipote Giovanni Nicola nel 1409 per il pagamento di parte della dote che le spettava sulle rendite di Paterno.

D1. Giacomo Nicola (+ poco prima 5-7-1400), 2° Conte di Avellino, Signore di Candida, Frigento, Abriola, Montemarano, Tito, Pietraperciata, Castelvetere, Solofra, Santo Mango alla morte del padre; fu partigiano del Duca Luigi II d’Angiò e nel 1399 difese Avellino dalle truppe del Re Ladislao I di Sicilia.

= sposa Francesca Sanframondo dei Conti di Cerreto (figlia o sorella del Conte Nicola ?) (+ post 1409).

E1. Giacomo Nicola II de Candiæ (investito il 5-7-1400, morto + ca. 1409), 3° Conte di Avellino, Signore di Candida, Frigento, Solofra, Abriola, Montemarano, Tito, Pietraperciata, Castelvetere e Santo Mango sotto tutela della madre. E2. Aldoino (+ giovane ca. 1409, poco prima del fratello Giacomo Nicola). E3. Giannuccio (+ giovane ca. 1409, morì nel giro di 8 giorni dal fratello Giacomo Nicola). E4. Urbano (+ giovane ca. 1409, morì nel giro di 8 giorni dal fratello Giacomo Nicola). E5. Caterina de Candiæ (* 1399 ca. + poco dopo 1432, sepolta nel monastero di Montevergine), 4° Contessa di Avellino, Signora di Chiusano, Santo Mango, Caivello, Frigento, Orta e altri feudi dal 1418. Alla morte del fratello Giacomo Nicola senza discendenza, Re Ladislao I di Sicilia fece ricadere i beni della famiglia al Regio Fisco ignorando le pretese di Filippo Filangieri de Candiæ, vendendoli o concedendoli ad altri, con privilegio per i nuovi proprietari di non essere molestati nel possesso. Ma anni dopo la nuova sovrana, Giovanna II, autorizzò il matrimonio di Caterina Filangieri de Candiæ con il suo favorito Sergianni Caracciolo dando anche seguito alle pretese del Caracciolo, desideroso di ottenere il possesso della ricca eredità della moglie. La decisione regia di autorizzare la successione in via femminile ebbe come conseguenza la nascita di una violenta lite tra Caterina da una parte e lo zio Filippo e il cugino Matteo Riccardo dall’altra. Giovanna II allora propose di definire la questione in sede giuridica istituendo una commissione presieduta dal Gran Cancelliere del Regno Marino Boffa e formata da illustri giuristi: Giovanni Montemagno e Pietro di Pistoia, Giudici della Gran Corte Vicaria; Giovanni Arcamone, Giudice d’Appello della Gran Corte Vicaria; Biagio Cisto, Carlo Gaeta, Gurello Caracciolo e Carlo Monticello, Dottori in legge; il Giudice Giacomo Griffo e l’Abate Rinaldo Vassallo. La commissione, costituita da magistrati ligi al volere della sovrana e istruiti di proposito (ricordiamo tra l’altro che Marino Boffa era uno dei tanti amanti di Giovanna II e Gurello Caracciolo era parente di Sergianni), fu favorevole a Caterina Filangieri. Tralasciando la distinzione tra beni burgensatici e feudali che furono accumunati in un tutt’uno, fu stabilito: 1) la successione in via femminile in mancanza di eredi maschi escludendo gli zii; 2) che per coloro che seguivano lo jure francorum la sorella veniva esclusa dalla successione nel caso avesse avuto dei beni in eredità dal fratello; 3) che per coloro che seguivano lo jure longobardorum la sorella succedeva se veniva dotata di beni dal padre. Da ciò se ne dedusse che Caterina succedeva nei feudi dinastici avendo ricevuto 800 once di dote dal padre da pagarsi sui “beni” di famiglia. La risoluzione fu emanata in forma di legge con il nome di Prammatica Filangeria a Castelnuovo di Napoli il 19-1-1418. La Regina Giovanna II, con Privilegio del 22-1-1418 (confermato il 10-12-1418), permise a Caterina Filangieri di fare causa contro i possessori dei beni di famiglia concessi da Re Ladislao I, obbligandoli alla restituzione. La Prammatica Filangeria fu ricordata dal Principe Gaetano Filangieri nel suo celebre saggio politico “La scienza della legislazione” (1780/1783) come prototipo di abuso legislativo relativo alle successioni. Dopo l’assassinio del marito, Caterina subì la confisca di Avellino e di altri feudi minori il 29-8-1432.

         = poco prima 1418 Giovanni/Sergianni Caracciolo del Sole 1° Duca di Venosa (v.)

D2. Costanza de Candiæ = sposa (contratto 8-8-1387) Guglielmo III di Tocco Conte di Martina e Signore di Montemiletto (v.) D3. Lancillo(tto) (+ testamento: 5-9-1399), Signore di Prata e San Barbato, ereditate al fratello Riccardo. D4. Riccardo de Candiæ (+ 1408), Signore di Prata e San Barbato dal 1399, Signore di Montaperto con Lentace e Mancusi, Camerario del Re Ladislao I di Sicilia. = sposa 1401 N.D. Berarda (o Verdella) Origlia Patrizia Veneta, figlia del N.H. Gurrello 1° Conte di Acerra, Gran Protonotario del Regno di Sicilia, Patrizio Napoletano e Patrizio Veneto, e di Clemenzia Mele (+ post 1408) (v.) E1. Matteo o Matteo Riccardo de Candiæ (+ post 13-1-1476/ante 12-8-1480), Signore di Montaperto con Mancusi e Lentace e San Barbato dal 1408 sotto tutela dell’ava Giovanna Minutolo; cede i suoi diritti sul feudo di Santa Maria Ingrisone ad Algiasio di Montefuscolo il 13-5-1432; Signore di Santa Croce e San Nicola de Calcidis (o de’ Carcisi) (nel 1480 il primo feudo era passato in possesso di Bartolomeo de Colanello e Nicola de Almellino, il secondo a Pietro de Candida e Troiano Spinelli); nel 1418 parteggiò per lo zio Filippo nella contesa con la cugina Caterina Filangieri.

             = Giovanna, figlia di Gurone Origlia, Patrizio Napoletano e di Margherita Sannazzaro (v.)

F1. Berardino de Candiæ (+ di peste 1528), Signore di Montaperto con Mancusi e Lentace (investito: Castelnuovo di Napoli 16-5-1485), possedeva ½ del feudo di San Nicola de’ Carcisi, Signore di San Barbato, Capurso e Parete; il monastero di Montevergine gli pagava un tassa di 3 ducati, 5 tarì e 19 grana; parteggiò per i francesi invasori nel 1528.

  = Marta delle Vigne, nobildonna di Capua

G1. Giulia (+ di peste 1528).

   G2. Lucrezia (+ di peste 1528).

F2. Filippo de Candiæ , Signore di Mancusi e Lentace che comprò dal fratello l’11-11-1512 (Regio Assenso: 29-11-1512), apparteneva al patriziato napoletano.

    = Giulia, figlia di Niccolò Cutillo    

G1. Niccolò Antonio de Candiæ (+ 4-12-1547), Signore di Mancusi e Lentace (Relevio: 8-8-1543), Patrizio Napoletano; mosse lite a Giovanni Angelo Pisanello, che aveva comprato il castello di Montaperto, perché pretendeva che questo gli pagasse la dote di “paraggio” della zia Berarda Filangieri della quale era erede.

           = Vittoria Griffo dei Baroni di Calvi, tutrice dei figli

H1. Giovan Tommaso (+ pcoo prima 29-10-1593), Signore di Mancusi e Lentace (Relevio 1548), possedeva anche il feudo di Aufieri; questo e gli altri feudi furono venduti dalla madre ad Antonio Bilotta con Regio Assenso del 7-9-1553; Patrizio Napoletano. Lasciò erede il cugino Pirro.

   H2. Giovan Battista, Patrizio Napoletano.

H3. Alfonso, Patrizio Napoletano. H4. Costanza

G2. Ferrante, Patrizio Napoletano, fu tutore dei nipoti; aggregato al patriziato di Benevento. = Geronima d’Auria, nobildonna di Lucera H1. Pirro, Patrizio Napoletano e Patrizio di Benevento; ereditò i beni del cugino Giovan Tommaso il 29-10-1593. = sposa Vittoria del Tufo, figlia di Marcantonio 13° Barone di Tufo e di Porzia Riccio (v.)

I1. Marcantonio (+ caduto all’assedio di Casale 16…), Patrizio Napoletano e Patrizio di Benevento; alfiere di fanteria spagnola nella compagnia di Muzio d’Afflitto in Piemonte. I2. Filippo (+ Napoli 22-7-1645, sepolto ivi nella chiesa della Vittoria dei Padri Teatini), Patrizio Napoletano e Patrizio di Benevento; Commissario Generale di cavalleria con Patente: Napoli 29-9-1637, Maestro di Campo e Aiutante Reale, Colonnello di cavalleria spagnola.

F3. Berarda = sposa il conte Pisanelli D5. Filippo detto “il Prete” (+ giustiziato ad Aversa [poco dopo 10-8] 1426), da giovane fu chierico, Capitano della terra di Candida dal 22-2-1413; fece opposizione alla nipote Caterina e pretese alla successione sul feudo di Avellino nel 1418, appoggiò le pretese del nipote di Tocco e con questo occupò il feudo di Montemiletto nel 1419; pretese il feudo di Solofra nel 1417 contestando il possesso alla famiglia Zurlo; si oppose anche a Sergianni Caracciolo, che lo dichiarò ribelle, lo fece imprigionare e infine uccidere

D6. Caterina de Candiæ = sposa Leonetto Caracciolo Signore di Pisciotta (v.)

C2. (ex 1°) Antonio (+ infante). C3. (ex 1°) Riccardo (+ infante). C4. (ex 1°) Roberta (+ infante). C5. (ex 1°) Martuccia detta “Mariella” (+ ante 20-10-1390)

      = Guglielmo della Leonessa Signore di San Martino e Montemarano (v.)

C6. (ex 2°) Maria (+ post 1401)

      = post 1360 Antonello Ruffo Signore di Condojanni (v.)

C7. (ex 2°) Giovanni, per la sua discendenza v. Parte III. C8. (ex 2°) Pietro (+ ca. 1400), Signore di Castelvetere, che lascia in eredità al fratello Giovanni.

B2. Martuccio (+ giovane, post 1321), minorenne nel 1321; investito di Abriola per donazione paterna (Regio Assenso del 28-8-1320).

      B3. Giovanna detta “Giovannella” (+ giovane, post 1321), minorenne nel 1321.
      B4. Costanza, nel 1321 era minorenne.
             = Ruggero del Tufo Barone di Chiusano (v.)
      B5. Giordana (+ giovane, post 1321), minorenne nel 1321.

A3. Adamo de Candiæ = sposa Nerva della Marra (Regio Assenso: 11-11-1283 – dote di 103 once d’oro), figlia di Angelo Maestro Razionale della Gran Corte A4. Ruggero detto Rogereno de Candiæ (+ post 18-11-1324), Cavaliere, combatte contro gli Aragonesi nel 1289, investito di Marmore e del castello di Viticio poco prima del penultimo di giugno 1304, tutore dei nipoti nel 1321. = sposa Baronessa Tommasa de Vietri, figlia del qm. miles Ruggero di Vietri Signore di Vietri (+ poco prima 8-3-1311), investita di 1/3 del feudo di Vietri more francorum con Regio Assenso il 4-5-1309.

B1. Francesco (+ ante 26-10-1334), Signore di Vietri investito l’8-3-1311, probabilmente aveva anche delle parti del feudo di Lapio in condominio con i cugini. = sposa Luisa d’Ervilla, tutrice dei figli insieme a Goffredo di Morra, il 26-10-1334 la tutela passa a Guglielmo Ruffo

C1. Riccardo de Candiæ (vivente 19-6-1334, 8-12-1341, 10-5-1343), Signore di Lapio e Signore di Vietri, ebbe lite per il possesso di Lapio e infine decise la vendita di questo feudo al cugino Filippo l’8-12-1341. = sposa Luisa Ruffo marchessa di Corbouacieu, figlia di Guglielmo 1° Conte di Sinopoli e di Caterina Scripari di Alemania Signora di Corbazio (v.)

 C2. Enrico

A5. Giordano de Candiæ, capostipite dei de Candida. A6. Olimpia de Candiæ = sposa (poco prima 13-IX) 1299 Simone del Tufo 3° Barone di Tufo (v.) A7. Angela de Candiæ, in occasione del suo matrimonio il fratello Riccardo chiese una sovvenzione ai propri vassalli. = sposa 1308 Bernardo Caracciolo del Sole, Patrizio Napoletano (v.) ________________________________________________________________________________________________

DE CANDIE / DE CANDIA

Source: Annuaire de la noblesse de France 1861 Gallica : [[2]]

Ref : Chev. épée JO Two Old French Romances: Le Chevalier a l'épée and; Le Roman de Foulque de Candie p. Herbert le duc de Dammartin

Ref: La Société académique de Savoie a publié à Chambéry des Mémoires sur la carrière politique et militaire de Savoie, 1828.'