Mon légionnaire

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Mon légionnaire is a French song created in 1936 by Marie Dubas, with lyrics from Raymond Asso and music from Marguerite Monnot. With this song, Marie Dubas's popularity became so important that she toured the United States in 1939.

The song is now mainly identified with Edith Piaf, who took it up as a central element of her repertoire, and appears in most records of Piaf's songs. The romantic theme of a woman's longing for an embittered Legionnaire with whom she had a brief affair and who refused to tell her his name fits well with Piaf's image.

Raymond Asso was himself a veteran of the French Foreign Legion, who also wrote "Le Fanion de la Légion" (The Flag of the Legion), which was also taken up by Dubas and afterwards by Piaf - but with less suceess.

"Mon légionnaire" was reprised by Serge Gainsbourg in the 1980's, the male voice singing the lyrics made famous by Piaf giving the song a strong homoerotic undertone. The new version of "Mon Légionnaire" was a hit on French dancefloors, both gay and heterosexual.

[edit] Words

Il avait de grands yeux très clairs

Où parfois passaient des éclairs

Comme au ciel passent des orages.

Il était plein de tatouages

Que j'ai jamais très bien compris.

Son cou portait : "Pas vu, pas pris."

Sur son cœur on lisait : "Personne"

Sur son bras droit un mot : "Raisonne".


{Refrain:}


J'sais pas son nom, je n'sais rien d'lui.

Il m'a aimée toute la nuit,

Mon légionnaire !

Et me laissant à mon destin,

Il est parti dans le matin

Plein de lumière !

Il était minc', il était beau,

Il sentait bon le sable chaud,

Mon légionnaire !

Y avait du soleil sur son front

Qui mettait dans ses cheveux blonds

De la lumière !


Bonheur perdu, bonheur enfui,

Toujours je pense à cette nuit

Et l'envie de sa peau me ronge.

Parfois je pleure et puis je songe

Que lorsqu'il était sur mon cœur,

J'aurais dû crier mon bonheur...

Mais je n'ai rien osé lui dire.

J'avais peur de le voir sourire !


{Refrain}

On l'a trouvé dans le désert.

Il avait ses beaux yeux ouverts.

Dans le ciel, passaient des nuages.

Il a montré ses tatouages

En souriant et il a dit,

Montrant son cou : "Pas vu, pas pris"

Montrant son cœur : "Ici, personne."

Il ne savait pas...Je lui pardonne.



J'rêvais pourtant que le destin

Me ramèn'rait un beau matin

Mon légionnaire,

Qu'on s'en irait seuls tous les deux

Dans quelque pays merveilleux

Plein de lumière !

Il était minc', il était beau,

On l'a mis sous le sable chaud

Mon légionnaire !

Y avait du soleil sur son front

Qui mettait dans ses cheveux blonds

De la lumière !

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